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Publications de la Chambre

Les Débats constituent le rapport intégral — transcrit, révisé et corrigé — de ce qui est dit à la Chambre. Les Journaux sont le compte rendu officiel des décisions et autres travaux de la Chambre. Le Feuilleton et Feuilleton des avis comprend toutes les questions qui peuvent être abordées au cours d’un jour de séance, en plus des avis pour les affaires à venir.

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Notice Paper

No. 196

Friday, June 16, 2017

10:00 a.m.

Feuilleton des avis

No 196

Le vendredi 16 juin 2017

10 heures


Introduction of Government Bills

Dépôt de projets de loi émanant du gouvernement

Introduction of Private Members' Bills

Dépôt de projets de loi émanant des députés

June 15, 2017 — Mr. Rankin (Victoria) — Bill entitled “An Act to amend the Income Tax Act (economic substance)”. 15 juin 2017 — M. Rankin (Victoria) — Projet de loi intitulé « Loi modifiant la Loi de l’impôt sur le revenu (substance économique) ».

Notices of Motions (Routine Proceedings)

Avis de motions (Affaires courantes ordinaires)

June 15, 2017 — Ms. Chagger (Leader of the Government in the House of Commons) — That, pursuant to Standing Order 111.1, the House approve the appointment of Charles Robert as the Clerk of the House of Commons. 15 juin 2017 — Mme Chagger (leader du gouvernement à la Chambre des communes) — Que, conformément au paragraphe 111.1(1) du Règlement, la Chambre approuve la nomination de Charles Robert à titre de Greffier de la Chambre des communes.

Questions

Questions

Q-10922 — June 15, 2017 — Ms. Laverdière (Laurier—Sainte-Marie) — With regard to cooperation between the Canadian military and the United States (US) military and intelligence agencies in Afghanistan and Iraq and to findings of the Canadian military Board of Inquiry report of May 4, 2010, on the subject of the “14 June 2006 Afghan Detainee Incident”: (a) when did Canada decide to no longer transfer persons in the care, custody, or control of members of the Canadian military to members of the US military; (b) were there any omissions or exclusions from the scope of this decision at the receiving end, such as US intelligence agencies like the Central Intelligence Agency (CIA) or did the decision apply to transfers to any agent or actor acting on behalf of the US government; (c) at the transferring end, did this decision apply to all members of the Canadian military, including special forces and intelligence officials, and if not, to whom did it not apply; (d) for what reasons was this decision taken; (e) was this decision taken after legal advice had been received on whether it would be lawful to continue to transfer to the US and if so, was the government advised that it would be unlawful to continue the transfers; (f) what was the date of the last transfer before the decision came into effect; (g) did this decision apply to persons who would or could be characterized as Persons Under Control (PUC) by the US Army, units within the US Army, or the CIA, considering that this is a term that the Canadian military Board of Inquiry report of May 4, 2010, referred to as an “American Army Term”; (h) were there any instances of this decision not being implemented, and thus of persons being transferred to the US military or another US agency in situations in which members of the Canadian military themselves characterized a person as a PUC, considering that the same Canadian military Board of Inquiry report of May 4, 2010, observed that the term PUC was in “widespread use” within the Canadian military in Afghanistan; (i) is the government aware of any instances in which persons who were determined not to be “detainees” were transferred on the battlefield or elsewhere to Afghan National Security Forces (ANSF) personnel, including the Afghan National Police, the Afghan National Army, the National Directorate of Security, and any paramilitary or like organizations working for or alongside the foregoing, to then learn that the person was re-transferred by ANSF personnel to members of the US military, CIA, or private US actors cooperating with the US Army or CIA; (j) is the government aware of any instances in which persons treated by Canada as “detainees” were transferred to ANSF personnel and then re-transferred by ANSF personnel to members of the US military, CIA, etc., especially before the 2007 Transfer Arrangement between Canada and Afghanistan took effect; (k) was this decision conveyed to the US government and if so, what reasons were provided and how did the US government respond; and (l) was this decision ever reversed or revised and if so, on what terms, when, and for what reasons? Q-10922 — 15 juin 2017 — Mme Laverdière (Laurier—Sainte-Marie) — En ce qui concerne la collaboration en Afghanistan et en Iraq entre l’Armée canadienne d’une part et l’Armée et les agences de renseignements des États-Unis d’autre part, ainsi que les constatations du rapport publié le 4 mai 2010 par la Commission d’enquête des Forces armées canadiennes concernant « l’incident du 14 juin 2006 du détenu afghan » : a) quand le Canada a-t-il décidé de ne plus transférer de personnes sous la garde et le contrôle de membres de l’Armée canadienne à des membres de l’Armée américaine; b) y a-t-il eu des omissions ou des exclusions de la portée de cette décision du côté des parties réceptrices, comme les agences de renseignement des États-Unis telles que la Central Intelligence Agency (CIA), ou la décision s’appliquait-elle aux transferts aux mains de n’importe quel agent ou acteur agissant pour le compte du gouvernement des États-Unis; c) du côté des parties qui transfèrent, la décision s’appliquait-elle à tous les membres de l’Armée canadienne, y compris aux forces spéciales et aux agents du renseignement et, dans la négative, à qui ne s’appliquait-elle pas; d) pour quelles raisons a-t-on pris cette décision; e) a-t-on pris cette décision après avoir reçu des conseils juridiques pour savoir s’il serait légal de continuer les transferts aux mains des États-Unis et, dans l’affirmative, le gouvernement s’est-il fait dire qu’il serait illégal de continuer les transferts; f) à quelle date le dernier transfert a-t-il eu lieu avant l’entrée en vigueur de la décision; g) la décision s’appliquait-elle aux personnes qui seraient qualifiées ou qui pouvaient être qualifiées de « personnes sous contrôle (PUC) » par l’Armée des États-Unis, des unités de l’Armée des États-Unis ou la CIA, compte tenu que la Commission d’enquête des Forces armées canadiennes dit, dans son rapport du 4 mai 2010, qu’il s’agit d’un « terme de l’Armée américaine »; h) y a-t-il eu des cas où cette décision n’a pas été appliquée, et donc où des personnes ont été transférées aux mains de l’Armée des États-Unis ou d’une autre agence américaine dans des situations où les membres de l’Armée canadienne eux-mêmes qualifiaient une personne de PUC, compte tenu que la Commission d’enquête des Forces armées canadiennes dit, dans ce même rapport du 4 mai 2010, que le terme PUC était amplement utilisé par les militaires canadiens en Afghanistan; i) le gouvernement sait-il si des personnes dont on a estimé qu’elles n’étaient pas des « détenus » ont été transférées sur le champ de bataille ou ailleurs aux mains du personnel de la Force de sécurité nationale afghane (FSNA), dont la Police nationale afghane, l’Armée nationale afghane, la Direction nationale de la sécurité et des organisations paramilitaires ou semblables travaillant pour les entités précitées ou à leurs côtés, pour ensuite apprendre que ces personnes ont été re-transférées par le personnel de la FSNA aux membres de l’Armée des États-Unis, à la CIA ou à des acteurs américains privés collaborant avec l’Armée des États-Unis ou la CIA; j) le gouvernement sait-il si des personnes considérées par le Canada comme des « détenus » ont été transférées au personnel de la FSNA puis re-transférées par le personnel de la FSNA aux membres de l’Armée des États-Unis, à la CIA, etc., en particulier avant l’entrée en vigueur de l’entente de 2007 sur le transfert des détenus entre le Canada et l’Afghanistan; k) cette décision a-t-elle été communiquée au gouvernement des États-Unis et, dans l’affirmative, quelles raisons lui a-t-on données et qu’a-t-il répondu; l) a-t-on jamais renversé ou révisé cette décision et, dans l’affirmative, à quelles conditions, quand et pour quelles raisons?
Q-10932 — June 15, 2017 — Ms. Laverdière (Laurier—Sainte-Marie) — With respect to the characterization of persons in the care, custody or control of the Canadian military as Persons Under Control (PUCs) or use of like categories, whether or not such terms were or are used officially or unofficially: (a) in relation to a statement by Donald P. Wright et al. in A Different Kind of War: The United States Army in Operation – ENDURING FREEDOM (OEF) October 2001-September 2005 (Combat Studies Institute, 2010), at p. 221: “Detainees in Coalition hands in Afghanistan were referred to as persons under control (PUCs) instead of EPWs or detainees,”, does this reference to “Coalition” apply to the Canadian military, including special forces in any part of the 2001-2005 period in question; (b) in relation to a claim by Ahmed Rashid in Descent into Chaos: The United States and the Failure of Nation-Building in Pakistan, Afghanistan and Central Asia (Penguin, 2009), at pp. 304-305: “In spring 2002, …CIA lawyers further twisted legal boundaries by establishing a new category of prisoner: Persons Under Control, or PUC. Anyone held as PUC was automatically denied access to the ICRC, and even his existence was denied...PUCs were flown around the world to different locations on private jets belonging to dummy companies owned by the CIA.”, is the government aware of whether this is an accurate statement of one use to which the category of “PUC” was put by the United States; (c) in relation to an observation in Center for Law and Military Operations (United States Army, Judge Advocate General’s Legal Center and School), Lessons Learned from Afghanistan and Iraq: Volume I - Major Combat Operations (11 September 2001 – 1 May 2003) (August 1, 2004) [Lessons Learned]: “[P]ersons detained were either classified as ‘persons under control’ (PUCs) or simply as ‘detainees.’… Persons captured on the battlefield were initially brought to the classified location to establish their identity and determine if they met the criteria for potential transfer to Guantanamo. During this phase, detained personnel were classified as ‘PUCs’.”, is the government aware of whether, during such windows of time, CIA agents or persons working for the CIA would sometimes take custody of PUCs from the US Army before they could be officially designated as “detainees” by the Army; (d) in relation to a claim in Chris Mackey and Greg Miller, The Interrogators: Task Force 500 and America’s Secret War Against Al-Qaeda (Back Bay Books, 2004), at pp. 250-251: “In June [2002]…our [US Army] command in Bagram …came up with a whole new prisoner category called “persons under U.S. control”, or PUCs. The whole idea was to create a sort of limbo status, a bureaucratic blank spot where prisoners could reside temporarily without entering any official database or numbering system.”: is the government aware of whether or not this US Army PUC category was created in concert with and used by the CIA as a way to secure custody of PUCs while they were still in a “bureaucratic blank spot”; (e) in relation to the observations in Lessons Learned that “the term ‘PUC’ did not develop until the [US] XVIIIth Airborne Corps arrived in Afghanistan” in 2002, did Canadian Forces, including special forces, ever conduct joint operations with the US’ XVIIIth Airbone Corps in which captives were taken; (f) is the government aware of whether the commanding officer of the US’ XVIIIth Airborne Corps, Lt. Gen. Dan McNeill, was a direct source of, or conduit for, the notion of “PUC” and if so, whether Lt. Gen. Dan McNeill was working in concert or tandem with the CIA in introducing this term into the Afghanistan theatre; (g) after General Walter Natynczyk was seconded to command 35,000 US forces in Iraq during the US’ Operation Iraqi Freedom in Iraq from January 2004 to January 2005, did he bring any knowledge of the use of PUC practices or a PUC system from Iraq to the Canada-Afghanistan context when he became head of the Canadian Forces’ Land Force Doctrine and Training system in 2005 and when he was appointed Vice-Chief of Defence Staff in 2006, and if so, was such practices introduced in any way to this doctrine and training system; (h) prior to August 2015 by which time the first Canadian Forces troops had arrived in Kandahar, were there meetings between Canadian Lt. Gen. Michel Gauthier and US Under-Secretary of Defence for Intelligence Steve Cambone or any other officials in the US Department of Defense or in the Pentagon in which they discussed, inter alia, Canada aligning or otherwise coordinating its policy and practices in Kandahar with those of the US, including in relation to detainees, as a condition of the US agreeing that Canada be assigned Kandahar; (i) prior to August 2015 by which time the first Canadian Forces troops had arrived in Kandahar, were there meetings between Chief of Defence Staff General Rick Hillier and any officials in the US Department of Defense or in the Pentagon in which they discussed, inter alia, Canada aligning or otherwise coordinating its policy and practices in Kandahar with those of the US, including in relation to detainees, as a condition of the US agreeing that Canada be assigned Kandahar; (j) prior to August 2015 by which time the first Canadian Forces troops had arrived in Kandahar, were there meetings between any Canadian Forces officers apart from Generals Gauthier and Hillier in which they discussed, inter alia, Canada aligning or otherwise coordinating its policy and practices in Kandahar with those of the US, including in relation to detainees, as a condition of the US agreeing that Canada be assigned Kandahar; and (k) is the mini-biography of Mr. Gauthier on The Governance Network’s website correct in saying Gauthier “[l]ed Canadian Expeditionary Force Command, responsible for all CF operational missions abroad, the Canadian mission in southern Afghanistan” and if so, did this include authority over policy and decisions related to the transfer of captives to other states? Q-10932 — 15 juin 2017 — Mme Laverdière (Laurier—Sainte-Marie) — En ce qui concerne le fait de qualifier les personnes sous le soin, la garde ou le contrôle des forces militaires canadiennes de « personnes sous contrôle » (PUC), ou d’employer des catégories semblables, et ce, que ces termes soient des désignations officielles ou non : a) relativement à une déclaration de Donald P. Wright et coll. dans A Different Kind of War: The United States Army in Operation – ENDURING FREEDOM (OEF) October 2001-September 2005 (Combat Studies Institute, 2010), en p. 221 : « Les détenus aux mains de la Coalition en Afghanistan étaient appelés des personnes sous contrôle (PUC), plutôt que des prisonniers de guerre ennemis ou des détenus », cette mention de « Coalition » s’applique-t-elle aux forces militaires canadiennes, y compris les forces spéciales, au cours de quelque partie que ce soit de la période de 2001 à 2005 en question; b) relativement à une affirmation faite par Ahmed Rashid dans Descent into Chaos: The United States and the Failure of Nation-Building in Pakistan, Afghanistan and Central Asia (Penguin, 2009), en p. 304-305 : « Au printemps de 2002, […] les avocats de la CIA ont tordu davantage les limites juridiques en établissant une nouvelle catégorie de prisonnier : les personnes sous contrôle, ou PUC. Quiconque était détenu à titre de PUC était d’emblée privé de l’accès au CICR [Comité international de la Croix-Rouge], et on niait jusqu’à son existence. [...] Les PUC étaient transportés ailleurs dans le monde à bord de jets privés appartenant à des entreprises fictives créées par la CIA. », le gouvernement sait-il s’il s’agit d’une description exacte d’un des usages faits par les États-Unis de la catégorie de « PUC »; c) relativement à une observation dans Center for Law and Military Operations (Armée des États-Unis, centre et école juridiques du juge-avocat général), Lessons Learned from Afghanistan and Iraq: Volume I – Major Combat Operations (11 September 2001 – 1 May 2003) (1er août 2004) [Lessons Learned] : « Les personnes détenues étaient qualifiées de “personnes sous contrôle” (PUC) ou simplement appelées “détenus” […] Les personnes capturées sur le champ de bataille étaient d’abord amenées à l’endroit classifié, où l’on pouvait établir leur identité et déterminer si elles répondaient aux critères pour être transférées à Guantanamo. Pendant cette phase, les personnes détenues étaient considérées comme des PUC. », le gouvernement sait-il si, pendant ces intervalles, des agents de la CIA ou des personnes au service de la CIA prenaient parfois sous leur garde des PUC détenus par l’Armée des États-Unis avant que celle-ci ne puisse les désigner officiellement à titre de « détenus »; d) relativement à une affirmation dans Chris Mackey et Greg Miller, The Interrogators: Task Force 500 and America’s Secret War Against Al-Qaeda (Back Bay Books, 2004), en p. 250-251 : « En juin [2002] […] notre commandement [celui de l’Armée des États-Unis] à Bagram […] a conçu une catégorie de prisonniers entièrement nouvelle, celle des “personnes sous contrôles” ou PUC. L’idée était de créer une sorte de statut flou ou de vide bureaucratique où les prisonniers pourraient résider provisoirement sans être inscrits dans une base de données ou un système de numérotation quelconque. » : le gouvernement sait-il si cette catégorie américaine de PUC avait été créée de concert avec la CIA, et si elle a été utilisée par cette agence, comme moyen d’obtenir la garde de PUC pendant qu’ils se trouvaient encore dans un « vide bureaucratique »; e) relativement aux observations dans Lessons Learned selon lesquelles « le terme “PUC” n’est apparu qu’à l’arrivée en Afghanistan du XVIIIth Airborne Corps [des États-Unis] », en 2002, les Forces canadiennes, y compris les forces spéciales, ont-elles mené des opérations conjointes avec le XVIIIth Airbone Corps des États-Unis au cours desquelles des prisonniers ont été capturés; f) le gouvernement sait-il si le commandant du XVIIIth Airborne Corps, le Lgén Dan McNeill, était la source directe ou intermédiaire de la notion de « PUC » et, dans l’affirmative, s’il travaillait de concert ou en tandem avec la CIA en vue d’introduire ce terme sur le théâtre afghan; g) après que le général Walter Natynczyk a été affecté au commandement de 35 000 membres des forces des États-Unis en Iraq pendant l’opération Iraqi Freedom des États-Unis, de janvier 2004 à janvier 2005, a-t-il ramené d’Iraq au contexte de l’engagement du Canada en Afghanistan la connaissance de l’emploi de pratiques liées aux PUC ou un système de PUC, quand il a pris la tête du Système de la doctrine et de l’instruction de la Force terrestre en 2005 et quand il a été nommé vice-chef d’état-major de la Défense en 2006, et, dans l’affirmative, de telles pratiques ont-elles été intégrées de quelque manière que ce soit dans ce système de la doctrine et de l’instruction; h) avant août 2015, alors que les premières troupes des Forces canadiennes étaient arrivées à Kandahar, y avait-il eu des réunions entre le Lgén canadien Michel Gauthier et le sous-secrétaire américain de la Défense au renseignement Steve Cambone, ou tout autre responsable du département de la Défense des États-Unis ou du Pentagone, pendant lesquelles ils auraient discuté, entre autres, de l’harmonisation ou de la coordination de la politique et des pratiques du Canada avec celles des États-Unis, notamment à l’égard des détenus, comme condition de l’acceptation par les États-Unis que le Canada assume le commandement à Kandahar; i) avant août 2015, alors que les premières troupes des Forces canadiennes étaient arrivées à Kandahar, y avait-il eu des réunions entre le chef d’état-major de la Défense, le général Rick Hillier, et tout responsable du département de la Défense des États-Unis ou du Pentagone, pendant lesquelles ils auraient discuté, entre autres, de l’harmonisation ou de la coordination de la politique et des pratiques du Canada avec celles des États-Unis, notamment à l’égard des détenus, comme condition de l’acceptation par les États-Unis que le Canada assume le commandement à Kandahar; j) avant août 2015, alors que les premières troupes des Forces canadiennes étaient arrivées à Kandahar, y avait-il eu des réunions avec des officiers des Forces canadiennes, à part les généraux Gauthier et Hillier, pendant lesquelles il aurait été question, entre autres, de l’harmonisation ou de la coordination de la politique et des pratiques du Canada avec celles des États-Unis, notamment à l’égard des détenus, comme condition de l’acceptation par les États-Unis que le Canada assume le commandement à Kandahar; k) est-ce que la courte notice biographique de M. Gauthier sur le site Web du Governance Network est exacte en ce qui a trait au rôle de M. Gauthier à la tête du Commandement de la Force expéditionnaire du Canada, responsable de l’ensemble des missions opérationnelles des Forces canadiennes à l’étranger et de la mission canadienne dans le Sud de l’Afghanistan, et, dans l’affirmative, était-il responsable à ce titre de la politique et des décisions relatives au transfert de prisonniers à d’autres États?
Q-10942 — June 15, 2017 — Ms. Laverdière (Laurier—Sainte-Marie) — With respect to the characterization of persons in the care, custody or control of the Canadian military as “PUCs” and “Persons Under Control”, or use of like categories, whether or not such terms were or are used officially or unofficially: (a) does the government accept the accuracy of the finding of a Canadian military Board of Inquiry (BOI) on the subject of the “14 June 2006 Afghan Detainee Incident” [BOI June 2006 Incident Report], in its report of May 4, 2010, (para 30, part II) that the term “PUC” was in “widespread use” amongst Canadian soldiers in Afghanistan in 2006; (b) in relation to a BOI June 2006 Incident Report observation (para 30, part II), stating that “[T]he B Coy MP [B Company Military Police officer] testified that he was directed during ROTO 1 [rotation/deployment 1] to always use the term “PUC” and to avoid the term “Detainee.””, who directed this Military Police (MP) to systematically use “PUC” and to avoid “detainee” and for what reasons was this MP so directed; (c) in relation to a BOI June 2006 Incident Report finding (para 30, part II), stating that “When made aware of the term the TFA Advisors (LEGAD and PM) endeavoured to remove it [“PUC”] from the tactical reporting lexicon, as it had no legal foundation in detainee policy.”, (i) when and how were the Task Force Afghanistan (TFA) Advisors “made aware of the term”, (ii) for what period did “PUC” appear in tactical reporting, (iii) did its use in tactical reporting end, and if it ended, when did it end and was this the result of the initiative of the TFA Advisors; (d) in relation to the same report finding as in (c), was any person in position of strategic command in the Canadian Forces, including Generals Rick Hillier, Walter Natynzyk, Michel Gauthier and David Fraser, at any time aware of the use of the term “PUC” and if so, what actions did one or more of them take in relation to its use; (e) does the government accept the BOI June 2006 Incident Report finding that persons characterized by Canadian soldiers and commanders during one or more periods in 2006 as “PUCs” were transferred to Afghan authorities without also being characterized as “detainees” with the result that there was no triggering of the record-keeping and reporting (including reporting to the International Committee of the Red Cross (ICRC)) connected to official detainee policy and to the 2005 Transfer Arrangement with Afghanistan, and if so, what is the number of such PUCs transferred without record or reporting to the ICRC; (f) in relation to the observation in the BOI June 2006 Incident Report (para 33, Part II), that, in relation to the Canadian Broadcasting Corporation published Canadian military reports from the field that 26 persons were “captured” on May 17, 2006, by Task Force ORION, those 26 were transferred to the Afghan National Police without ever being processed as detainees, were those persons treated as PUCs by TF ORION; (g) in relation to question (m) of Order Paper Question Q-1117 (41st Parliament, first session; filed by Craig Scott, MP) that asked the government to set out how 11 captured persons referenced at page 96 of a book by the commanding officer of Task Force ORION, Ian Hope – Dancing with the Dushman: Command Imperatives for the Counter-Insurgency Fight in Afghanistan (Canadian Defence Agency Press, 2008) – were processed, were these 11 persons processed as “detainees” with attendant record-keeping and reporting or were they instead treated as “PUCs” and transferred to Afghan authorities on that basis, with no attendant record-keeping or reporting to the ICRC; (h) in view of the statement in a report by the Directorate of Special Examinations and Inquiries (DESI), in “Directorate of Special Examinations and Inquiries Investigation—Passage of Information, Final Report (14 June 2006 Afghanistan Detainee Incident)”, document number 7045-72-09/26, that it was “of very significant concern …that a number of TF ORION War Diary records for the period 13 May – 17 June 2006 could not be located”, have some or all of those war diary records since been located; (i) if some or all of the war diaries referenced in (h) have been located, do they shed light on the use of “PUCs” or like designations as a way to avoid labelling a captive as a “detainee”; (j) in relation to point (o) in Q-1117 (41st Parliament, first session) – “were there persons under the control of Canadian forces who were transferred to Afghanistan, but who were not treated by Canada as covered by the provisions of the 2005 and 2007 Canada-Afghanistan Memorandums of Understanding on detainee transfer and if so, on what basis were transfers of such persons not deemed covered by the agreements?” – that the government did not then answer in the affirmative, would the government now like to change its answer; (k) in relation to point (p) in Q-1117 (41st Parliament, first session) – “were there persons under the control of Canadian forces who were transferred to Afghanistan but whose existence and transfer was not made known to the International Committee of the Red Cross and if so, on what basis was the Red Cross not informed?” – that the government did not then answer in the affirmative, would the government now like to change its answer; (l) in relation to point (n) of Q-1117 (41st Parliament, first session) – “at any period and if so, which periods, [were] there …one or more categories of persons who Canada passed on to either Afghan or American authorities but who were not categorized as detainees, and did such categories have a designation, whether formal or informal?” – why did the government not reveal the existence of “PUCs” as an informal category; (m) in relation to, inter alia, the government answers to points (n), (o), and (p) of Q-1117 (41st Parliament, first session), does the present government consider that the former government deliberately sought to mislead or even deceive the then Member of Parliament who submitted Q-1117 (41st Parliament, first session); (n) inclusive of points (n), (o), and (p) of Q-1117 (41st Parliament, first session), are there any answers to this question that the present government considers were incorrect or untruthful; (o) in relation to a September 19, 2016, letter from Mr. Craig Scott, former MP for Toronto–Danforth, to the current Prime Minister in which Mr. Scott presented reasons as to why he “believe[d] it to be likely that the Department of National Defence crafted its answer to Order Paper Question Q-1117 (41st Parliament, first session) in order to avoid revealing” the existence of persons who were transferred to Afghanistan without being recorded or reported to the ICRC as “detainees”, has that letter resulted in any inquiries by or on behalf of the Prime Minister and if so, of what sort and with what result; (p) when on December 8, 2009, then Member of Parliament the Hon. Ujjal Dosanjh asked a question to former Chief of Defence Staff Walter Natynczyk in the latter’s appearance before the Standing Committee on National Defence in which Mr. Dosanjh quoted from a Globe and Mail article in which a Military Police officer’s field notes used the term “PUC”, did the government conduct any other investigation into why “PUC” had been used apart from the ordering of Board of Inquiry and Chief of Review Services investigations into aspects of the underlying incident and if so, what was the result; and (q) in relation to findings in BOI June 2006 Incident Report (para 12, Part II), stating that “Although BGen [David] Fraser did not become familiar with TSO [Theatre Standing Order] 321A until arriving in Kandahar…, its underlying principle of transferring detainees to ANSF was made clear to him before departing Canada. Direction provided to him verbally by the Chief of the Defence Staff (CDS) [General Rick Hillier] emphasized that Afghan detainees were to be transferred to Afghan National Security Forces (ANSF) as far forward in the field and as rapidly as possible; indeed, that their transfer from CF to ANSF custody was to be measured in terms of “minutes to hours.”, does the government consider that this constituted an instruction by General Hillier to circumvent the formal “detainee” system with a “PUC” practice? Q-10942 — 15 juin 2017 — Mme Laverdière (Laurier—Sainte-Marie) — En ce qui concerne la désignation, sous le sigle PUC (personnes sous contrôle), des personnes placées sous la garde, le contrôle ou la responsabilité de militaires canadiens, ou l’utilisation de catégories du genre, peu importe que de telles expressions étaient ou sont utilisées de manière officielle ou non : a) le gouvernement juge-t-il exacte la conclusion d’une commission d’enquête militaire canadienne au sujet de l’« incident concernant un détenu afghan survenu le 14 juin 2006 » [Rapport d’incident de juin 2006 de la Commission d’enquête], dans son rapport du 4 mai 2010 (paragr. 30, part II), à savoir que l’expression « personne sous contrôle » (PUC) « est entrée dans le vocabulaire » des soldats canadiens en Afghanistan en 2006; b) en ce qui concerne l’observation formulée dans le Rapport de la commission d’enquête sur l’incident de juin 2006 (paragr. 30, partie II) selon laquelle « le Grand prévôt de la Cie B a affirmé qu’on lui avait ordonné durant la ROTO 1 [rotation/déploiement 1]de toujours employer l’expression "prisonnier sous contrôle" et d’éviter le terme "détenu", qui a ordonné à cette police militaire (PM) d’utiliser systématiquement le terme « PUC » et d’éviter le terme « détenu » et pour quelles raisons lui a-t-on ordonné de le faire; c) en ce qui concerne la conclusion du Rapport d’incident de juin 2006 de la Commission d’enquête (paragr. 30, partie II) selon laquelle « [l]orsque les conseillers (CJ et GP) de la FOA ont appris cette expression, ils ont incité à la faire supprimer du vocabulaire dans l’établissement des rapports tactiques parce qu’elle n’avait aucun fondement juridique dans les politiques relatives aux détenus »,(i) quand et comment les conseillers de la force opérationnelle en Afghanistan (FOA) ont-ils « appris cette expression », (ii) quelle est la période pendant laquelle l’expression « PUC » s’est retrouvée dans les rapports tactiques, (iii) a-t-on cessé de l’utiliser dans les rapports tactiques et, dans l’affirmative, quand a t-on cessé de l’utiliser et quel a été le résultat de l’initiative des conseillers de la FOA; d) en ce qui concerne la conclusion du rapport énoncée au point c), est-ce qu’une personne occupant un poste de commandement stratégique dans les Forces canadiennes, incluant les généraux Rick Hillier, Walter Natynzyk, Michel Gauthier et David Fraser, était au courant, à un certain moment, de l’emploi du terme « PUC » et, dans l’affirmative, quelles mesures ont été prises à cet égard; e) le gouvernement accepte-t-il la conclusion du Rapport d’incident de juin 2006 de la Commission d’enquête selon laquelle les personnes désignées comme PUC par des soldats et commandants canadiens au cours d’une ou de plusieurs périodes en 2006 ont été transférées aux autorités afghanes sans être également désignées comme « détenus », d’où l’absence de dossiers et de rapports (incluant des rapports destinés au Comité international de la Croix-Rouge (CICR)) pouvant être reliés à la politique officielle sur les détenus ou à l’Entente sur le transfert des détenus conclue avec l’Afghanistan et, dans l’affirmative, quel est le nombre de ces PUC transférées sans qu’aucun dossier ou rapport n’ait été communiqué au CICR; f) en ce qui concerne le Rapport d’incident de juin 2006 de la Commission d’enquête (paragr. 33, partie II), à savoir que, pour ce qui est de la diffusion du reportage de CBC dans lequel il est indiqué que 26 personnes avaient été « capturées » le 17 mai 2006 par la FO ORION, puis transférées à la Police nationale afghane sans jamais être traitées comme des détenus, est ce que ces personnes ont été traitées comme des PUC par la FO ORION; g) en ce qui concerne le point m) de la question Q-1117 inscrite au Feuilleton (41e législature, 1re session), présentée par le député Craig Scott et demandant au gouvernement d’expliquer comment les 11 personnes capturées dont il est question à la page 96 du livre publié par Ian Hope, commandant de la FO ORION, et ayant pour titre Dancing with the Dushman: Command Imperatives for the Counter-Insurgency Fight in Afghanistan (Canadian Defence Agency Press, 2008) ont été traitées, ces personnes ont-elles été traitées en tant que « détenus » et fait l’objet de rapports ou ont-elles été traitées comme PUC et, partant, transférées aux autorités afghanes sans qu’aucun dossier ni rapport ne soit envoyé au CICR; (h) en ce qui concerne la déclaration figurant au rapport de la Direction des enquêtes et des examens spéciaux, soit « Enquête de la Direction - Enquêtes et examens spéciaux – Communication d'information, Rapport final (Incident du 14 juin 2006 concernant un détenu en Afghanistan) », numéro de document 7045 72 09/26, selon laquelle « fait très préoccupant, un certain nombre de dossiers du Journal de guerre de la FO ORION couvrant la période du 13 mai au 17 juin 2006 n’ont pas été trouvés », est ce qu’une partie ou l’ensemble de ces dossiers ont été trouvés depuis; (i) si une partie ou l’ensemble des dossiers du Journal de guerre dont il est question à (h) ont été trouvés, permettent-ils d’éclairer l’utilisation de l’expression PUC ou de termes similaires comme moyens d’éviter d’appeler une personne capturée un « détenu »; (j) en ce qui concerne le point (o) de Q 1117 (41e législature, 1re session) – « des personnes sous le contrôle des forces canadiennes transférées à l’Afghanistan ont-elles été traitées par le Canada de manière non conforme aux dispositions des protocoles d’entente de 2005 et de 2007 entre le Canada et l’Afghanistan sur le transfert des détenus et, dans l’affirmative, pour quels motifs a-t-on décidé que le transfert de ces personnes n’était pas assujetti aux protocoles d’entente? » – auquel le gouvernement n’a pas répondu par l’affirmative, le gouvernement souhaiterait il maintenant modifier sa réponse; (k) en ce qui a trait au point (p) de Q 1117 (41e législature, 1re session) – « des personnes sous le contrôle des forces canadiennes ont-elles été transférés à l’Afghanistan sans que leur existence et leur transfert ne soient portés à l’attention du Comité international de la Croix-Rouge et, dans l’affirmative, pour quels motifs la Croix-Rouge n’a-t-elle pas été informée? » – auquel le gouvernement n’a pas répondu par l’affirmative, le gouvernement souhaiterait il maintenant modifier sa réponse; (l) en ce qui a trait au point (n) de Q 1117 (41e législature, 1re session) – « y a-t-il eu des périodes et, dans l’affirmative, quelles sont ces périodes, pendant lesquelles le gouvernement canadien considère qu’il y avait une ou plusieurs catégories de personnes que le Canada transférait aux autorités afghanes ou américaines, mais qui n’étaient pas considérées comme des détenus, et ces catégories avaient-ils [sic] une désignation, officielle ou officieuse? » – pourquoi le gouvernement n’a t il pas révélé l’existence de PUC à titre de catégorie informelle; (m) en ce qui concerne, entre autres choses, les réponses du gouvernement aux points (n), (o) et (p) de Q 1117 (41e législature, 1re session), le gouvernement actuel pense t il que l’ancien gouvernement a délibérément cherché à induire en erreur ou même à tromper le député d’alors qui avait présenté Q 1117 (41e législature, 1re session); (n) en incluant les points (n), (o) et (p) de Q 1117 (41e législature, 1re session), y a t il des réponses à la question que le gouvernement actuel considère incorrectes ou trompeuses; (o) en ce qui concerne la lettre du 19 septembre 2016 de M. Craig Scott, ancien député de Toronto–Danforth, au premier ministre actuel, dans laquelle M. Scott présentait les motifs qui l’incitaient à penser qu’il était probable que le ministère de la Défense nationale ait formulé sa réponse à la question Q 1117 du Feuilleton (41e législature, 1re session) dans le but d’éviter de révéler l’existence de personnes ayant été transférées en Afghanistan sans jamais avoir été signalées ou inscrites au CICR comme « détenus », la lettre a t elle abouti à une enquête de la part ou au nom du premier ministre et, le cas échéant, quels ont été les résultats et de quelle nature sont ces résultats; (p) le 8 décembre 2009, lorsque le député d’alors, l’honorable Ujjal Dosanjh, a posé une question à l’ancien Chef d’état-major Walter Natynczyk lors de la comparution de ce dernier devant le Comité permanent de la défense nationale, question pour laquelle M. Dosanjh a cité un article du Globe and Mail qui rapportant qu’une police militaire utilisait, dans ses notes, l’expression « PUC », le gouvernement a t il mené une enquête pour déterminer pourquoi l’expression PUC avait été utilisée outre le fait d’avoir ordonné une commission d’enquête et un examen par le chef du Service d’examen sur des aspects de l’incident et, le cas échéant, quels ont été les résultats; et (q) en ce qui concerne les conclusions du rapport d’incident de juin 2006 du BRI (paragr. 12, partie II), établissant que « [m]ême si le Bgén [David] Fraser ne connaissait pas l’OPT [ordre permanent du théâtre] 321A avant son arrivée à Kandahar […] le principe sous jacent de cet ordre quant au transfert de détenu aux FSNA lui a été clairement communiqué avant son départ du Canada. Le Chef d’état major de la Défense (CEMD) [le général Rick Hillier] lui a donné l’instruction verbale et claire de transférer les détenus afghans aux FSNA le plus avant possible sur le terrain et le plus rapidement possible, ce transfert des FC à la garde des FSNA devant se compter en minutes ou en heures », le gouvernement considère t il qu’il s’agit de l’instruction, par le général Hillier de contourner le système officiel des « détenus » par l’utilisation de l’expression PUC?
Q-10952 — June 15, 2017 — Ms. Laverdière (Laurier—Sainte-Marie) — With regard to all operational contexts in which members of the Canadian military have been involved since September 11, 2001, up to the present and with respect to all military orders, directives, instructions, etc., whether binding or non-binding, interim, provisional, or final, related to persons in the care, custody, or control of members of the Canadian military and to all persons with whom members of the Canadian military come into contact but who are judged as being in the care, custody, or control of armed forces, security, and intelligence forces, and police forces of another state: (a) what were the numbers, titles and dates of all Canadian Forces Theatre Standing Orders and the identity of the issuing official; (b) what were the numbers, titles, and dates of all Fragmentary Orders and the identity of the issuing official; (c) what were the numbers, titles, and dates of all International Security Assistance Force orders of a similar nature issued in relation to the conflict in Afghanistan and the name of the issuing official or entity which issued them ; and (d) what were the numbers, titles, and dates of any orders of a similar nature issued by American, Iraqi, or other forces, including Kurdish authorities in northern Iraq, that apply in any way, directly or indirectly, to Canadian soldiers who come into contact with detainees while serving in Iraq and the name of the issuing official or entity which issued them? Q-10952 — 15 juin 2017 — Mme Laverdière (Laurier—Sainte-Marie) — En ce qui concerne tous les contextes opérationnels auxquels les militaires canadiens ont participé du 11 septembre 2001 jusqu’à aujourd’hui, de même que l’ensemble des ordres, des directives et des instructions militaires, entre autres, qu’ils soient exécutoires ou non, intérimaires, provisoires ou définitifs, touchant les personnes sous la garde des militaires canadiens ou détenues par ces derniers ainsi que toutes les personnes avec qui les militaires canadiens entrent en contact, mais qui sont réputées être sous la garde de forces armées, de forces de sécurité ou de services de renseignement d’un autre pays ou détenues par ces derniers : a) quels étaient les numéros, les titres et les dates de tous les ordres permanents du théâtre des Forces canadiennes et les noms des responsables qui les ont donnés; b) quels étaient les numéros, les titres et les dates de tous les ordres fragmentaires et les noms des responsables qui les ont donnés; c) quels étaient les numéros, les titres et les dates de tous les ordres de la Force internationale d’assistance à la sécurité de nature similaire donnés relativement au conflit en Afghanistan et les noms des responsables ou des entités qui les ont donnés; d) quels étaient les numéros, les titres et les dates de tous les ordres de même nature donnés par les forces des États Unis, de l’Iraq ou d’un autre pays, y compris les autorités kurdes du nord de l’Iraq, qui s’appliquent d’une quelconque façon, directement ou indirectement, aux soldats canadiens qui entrent en contact avec des détenus pendant leur service en Iraq, et les noms des responsables ou des entités qui ont donné ces ordres?
Q-10962 — June 15, 2017 — Mr. Warkentin (Grande Prairie—Mackenzie) — With regard to the proposed Canada Infrastructure Bank: (a) will the Infrastructure Bank be subject to the Access to Information Act; (b) will the Infrastructure Bank be required to disclose information in accordance with the Access to Information Act; and (c) will the Infrastructure Bank be subject to the same proactive disclosure requirements as government departments? Q-10962 — 15 juin 2017 — M. Warkentin (Grande Prairie—Mackenzie) — En ce qui concerne la Banque de l’infrastructure du Canada proposée : a) sera-t-elle assujettie à la Loi sur l’accès à l’information; b) devra-t-elle divulguer des renseignements conformément à la Loi sur l’accès à l’information; c) sera-t-elle assujettie aux mêmes exigences de divulgation proactive que les ministères?
Q-10972 — June 15, 2017 — Mr. Warkentin (Grande Prairie—Mackenzie) — With regard to consultation with our allies, in particular the United States, in relation to the Hytera Communications takeover of Norsat International Incorporated: (a) what are the titles and departments of the individuals consulted within the American government regarding the transaction; (b) when were they consulted; (c) what concerns were raised; and (d) how did the Canadian government address the concerns? Q-10972 — 15 juin 2017 — M. Warkentin (Grande Prairie—Mackenzie) — En ce qui concerne la consultation de nos alliés, en particulier les États-Unis, au sujet de la prise de contrôle de Norsat International Incorporated par Hytera Communications : a) quels sont les titres et les ministères de chacune des personnes consultées au sein du gouvernement américain pour la transaction; b) quand ces personnes ont-elles été consultées; c) quels ont été les points abordés; d) comment le gouvernement canadien a-t-il donné suite aux préoccupations?
Q-10981-2 — June 15, 2017 — Mr. Rankin (Victoria) — In relation to Canada’s transfer of captives in Afghanistan to the authorities of other states, including the United States and Afghanistan, from 2001 onward: (a) have there been any investigations by any federal agency, including but not limited to the Royal Canadian Mounted Police or the Canadian Armed Forces National Investigation Service, of senior officers in the Canadian Forces up to and including the Chief of Defence Staff for possible criminal conduct in violation of one or more Canadian statutes and/or one or more international legal obligations; (b) if the answer in (a) is affirmative, (i) between what dates, (ii) with respect to what conduct, (iii) with what result; (c) have there been any investigations by any federal agency, including but not limited to the Royal Canadian Mounted Police or the Canadian Armed Forces National Investigation Service, of any Minister of the Crown including the Prime Minister for possible criminal conduct in violation of one or more Canadian statutes and/or one or more international legal obligations; (d) if the answer in (c) is affirmative, (i) between what dates, (ii) with respect to what conduct, (iii) with what result; (e) have there been any investigations by any federal agency, including but not limited to the Royal Canadian Mounted Police or the Canadian Armed Forces National Investigation Service, of any member of the public service for possible criminal conduct in violation of one or more Canadian statutes and/or one or more international legal obligations; (f) if the answer in (e) is affirmative, (i) between what dates, (ii) with respect to what conduct, (iii) with what result; and (g) have there been any investigations by any federal agency, including but not limited to the Royal Canadian Mounted Police or the Canadian Armed Forces National Investigation Service, of any member of the a minister’s political staff including any member of the Prime Minister’s Office for possible criminal conduct in violation of one or more Canadian statutes and/or one or more international legal obligations; (h) if the answer in (g) is affirmative, (i) between what dates, (ii) with respect to what conduct, (iii) with what result? Q-10981-2 — 15 juin 2017 — M. Rankin (Victoria) — En ce qui concerne le transfert par le Canada de détenus afghans aux autorités d’autres États, y compris les États-Unis et l’Afghanistan, à compter de 2001 : a) y a-t-il eu enquête de la part d’organismes fédéraux, y compris, sans s’y limiter, la Gendarmerie royale du Canada ou le Service national des enquêtes des Forces armées canadiennes, sur les éventuels comportements criminels, en violation d’une ou de plusieurs lois canadiennes ou obligations juridiques internationales, d’officiers supérieurs des Forces canadiennes jusqu’au chef d'état major de la défense; b) si la réponse en a) est affirmative, (i) entre quelles dates, (ii) au sujet de quel comportement, (iii) et avec quel résultat; c) y a-t-il eu enquête de la part d’organismes fédéraux, y compris, sans s’y limiter, la Gendarmerie royale du Canada ou le Service national des enquêtes des Forces armées canadiennes, sur les éventuels comportements criminels, en violation d’une ou de plusieurs lois canadiennes ou obligations juridiques internationales, de tout ministre de la Couronne jusqu’au premier ministre; d) si la réponse à c) est affirmative, (i) entre quelles dates, (ii) au sujet de quel comportement, (iii) et avec quel résultat; e) y a-t-il eu enquête de la part d’organismes fédéraux, y compris, sans s’y limiter, la Gendarmerie royale du Canada ou le Service national des enquêtes des Forces armées canadiennes, sur les éventuels comportements criminels, en violation d’une ou de plusieurs lois canadiennes ou obligations juridiques internationales, de tout membre de la fonction publique; f) si la réponse à e) est affirmative, (i) entre quelles dates, (ii) au sujet de quel comportement, (iii) et avec quel résultat; g) y a t-il eu enquête de la part d’organismes fédéraux, y compris, sans s’y limiter, la Gendarmerie royale du Canada ou le Service national des enquêtes des Forces armées canadiennes, sur les éventuels comportements criminels, en violation d’une ou de plusieurs lois canadiennes ou obligations juridiques internationales, de tout membre du personnel politique d’un ministre, y compris le personnel du Cabinet du premier ministre; h) si la réponse à g) est affirmative, (i) entre quelles dates, (ii) au sujet de quel comportement, (iii) et avec quel résultat?
Q-10992 — June 15, 2017 — Ms. Mathyssen (London—Fanshawe) — With regard to the Department of Veterans Affairs and Military Sexual Trauma incidents: (a) what is the specific policy used by the Department to determine whether injuries sustained from a Military Sexual Trauma incident or incidents are service related; (b) what is the documentation from medical experts or other professionals, as well as any other types of evidence, accepted or required to be provided to the Department to determine (i) if injuries sustained from a Military Sexual Trauma incident or incidents are service related, (ii) if the Military Sexual trauma incident or incidents occurred? Q-10992 — 15 juin 2017 — Mme Mathyssen (London—Fanshawe) — En ce qui concerne le ministère des Anciens Combattants et les traumatismes sexuels dans le contexte militaire : a) quelle est la politique exacte qu’applique le Ministère pour déterminer si le ou les traumatismes sexuels subis par des militaires sont liés à leur service; b) quels sont la documentation provenant de spécialistes médicaux ou d’autres professionnels et tout autre élément de preuve acceptés ou exigés par le Ministère afin de déterminer (i) si le ou les traumatismes sexuels subis par des militaires sont liés à leur service, (ii) si le ou les traumatismes sexuels qu’auraient subis des militaires se sont effectivement produits?

Notices of Motions for the Production of Papers

Avis de motions portant production de documents

Business of Supply

Travaux des subsides

Government Business

Affaires émanant du gouvernement

No. 18 — June 15, 2017 — The Leader of the Government in the House of Commons — That the Standing Orders of the House of Commons be amended as follows: No 18 — 15 juin 2017 — Le leader du gouvernement à la Chambre des communes — Que le Règlement de la Chambre des communes soit modifié de la façon suivante :
1. That the following section be added after Standing Order 32.(6): 1. Que le paragraphe suivant soit inséré après l’article 32.(6) :
“(7) Not later than twenty sitting days after the beginning of the second or subsequent session of a Parliament, a Minister of the Crown shall lay upon the Table a document outlining the reasons for the latest prorogation. This document shall be deemed referred to the Standing Committee on Procedure and House Affairs immediately after it is presented in the House.” « (7) Au plus tard vingt jours de séance après le début de la deuxième session d’une législature ou d’une de ses sessions subséquentes, un ministre de la Couronne dépose sur le Bureau un document expliquant les raisons de la récente prorogation. Ce document est réputé renvoyé au Comité permanent de la procédure et des affaires de la Chambre dès sa présentation à la Chambre. »
2. That the following new Standing Order be added after Standing Order 69. 2. Que le nouvel article suivant soit inséré à la suite de l’article 69 :
“69.1(1) In the case where a government bill seeks to repeal, amend or enact more than one act, and where there is not a common element connecting the various provisions or where unrelated matters are linked, the Speaker shall have the power to divide the questions, for the purposes of voting, on the motion for second reading and reference to a committee and the motion for third reading and passage of the bill. The Speaker shall have the power to combine clauses of the bill thematically and to put the aforementioned questions on each of these groups of clauses separately, provided that there will be a single debate at each stage. « 69.1(1) Lorsqu’un projet de loi émanant du gouvernement vise à modifier, à abroger ou à édicter plus d’une loi dans les cas où le projet de loi n’a aucun fil directeur ou porte sur des sujets qui n’ont rien en commun les uns avec les autres, le Président peut diviser les questions, aux fins du vote, sur toute motion tendant à la deuxième lecture et au renvoi à un comité et à la troisième lecture et l’adoption du projet de loi. Le Président peut combiner des articles du projet de loi thématiquement et mettre aux voix les questions susmentionnées sur chacun de ces groupes d’articles séparément, pourvu qu’un seul débat soit tenu pour chaque étape.
“69.1(2) The present Standing Order shall not apply if the bill has as its main purpose the implementation of a budget and contains only provisions that were announced in the budget presentation or in the documents tabled during the budget presentation. ” 69.1(2) Le présent article ne s’applique pas si le projet de loi a comme objectif central la mise en œuvre d’un budget et contient des dispositions qui ont été annoncées lors de l’exposé budgétaire ou qui étaient contenues dans les documents déposés lors de l’exposé budgétaire. »
3. That Standing Order 81 be amended as follows: 3. Que l’article 81 soit modifié de la façon suivante :
(a) by replacing each occurrence of the words “interim supply” in sections (3) and (17), and in paragraph (14)(a), with the following: “interim estimates”; a) par substitution des mots « des crédits provisoires » au paragraphe (3) et à l’alinéa (14)a) de ce qui suit : « du budget provisoire des dépenses »; des mots « aux crédits provisoires » à l’alinéa (17)a) de ce qui suit : « à un budget provisoire des dépenses »; des mots « les crédits provisoires » à l’alinéa (17)b) de ce qui suit : « un budget provisoire des dépenses »;
(b) by replacing the initial text in section (4) with the following: “(4) The main estimates to cover a given fiscal year for every department of government shall be deemed referred to standing committees on or before April 16 of that fiscal year. Each such committee shall consider and shall report, or shall be deemed to have reported, the same back to the House not later than June 10 of that fiscal year, provided that:” b) par substitution du texte initial du paragraphe (4) de ce qui suit : « (4) Le budget principal des dépenses d’un exercice financier, à l’égard de chaque ministère du gouvernement, est réputé renvoyé aux comités permanents au plus tard le 16 avril de l’exercice financier visé. Chaque comité en question étudie ce budget et en fait rapport ou est réputé en avoir fait rapport à la Chambre au plus tard le 10 juin de l’exercice financier visé. Toutefois, »
(c) by replacing in paragraphs (4)(a) and (b), c) par substitution aux alinéas (4)a) et b)
I. the words “May 1” with the words “May 8”; I. des mots « 1er mai » de ce qui suit : « 8 mai »;
II. each occurrence of the words “May 31” with the words “June 10”; II. pour chaque occurrence des mots « 31 mai » de ce qui suit : « 10 juin »;
(d) by replacing paragraph (4)(c) with the following: “(c) on the third sitting day preceding the final allotted day, at not later than the ordinary hour of daily adjournment, the said committee shall report, or shall be deemed to have reported, the main estimates for the said department or agency; and”; d) par substitution à l’alinéa (4)c) de ce qui suit : « c) le troisième jour de séance avant le dernier jour désigné, au plus tard à l’heure ordinaire de l’ajournement quotidien, ledit comité fait rapport du budget principal des dépenses dudit ministère ou organisme, ou est réputé en avoir fait rapport; »;
(e) in section (5) e) au paragraphe (5)
I. by adding after the word “immediately” the word “after”; I. par substitution du mot « censé » de ce qui suit : « réputé »;
II. by replacing the word “censé” in the French version with the word “réputé”; II. par adjonction après le mot « immediately » de la version anglaise de ce qui suit : « after »;
(f) by adding a new section (6) to read as follows: “(6) Interim estimates shall be deemed referred to a standing committee or committees immediately after they are presented in the House. Each such committee shall consider and shall report, or shall be deemed to have reported, the same back to the House not later than three sitting days before the final sitting or the last allotted day in the period ending not later than March 26.”; and f) par adjonction d’un nouveau paragraphe (6) comme suit : « (6) Un budget provisoire des dépenses est réputé renvoyé à un ou plusieurs comités permanents dès sa présentation à la Chambre. Chaque comité en question doit étudier ce budget et en faire rapport, ou est réputé en avoir fait rapport, à la Chambre au plus tard trois jours de séance avant la dernière séance ou le dernier jour désigné de la période se terminant au plus tard le 26 mars. »;
(g) by deleting the words “or interim supply” in section (21). g) par suppression au paragraphe (21) des mots « ou d’un budget provisoire ».
4. That the following sections be added after Standing Order 104.(4): 4. Que les paragraphes suivants soient insérés après l’article 104.(4) :
“(5) In addition to the members named pursuant to section (1) of this Standing Order, the Chief Government Whip may, at any time, file with the clerk of any standing, special or legislative committee a notification indicating that one or more Parliamentary Secretaries shall serve as non-voting members of the committee. The Parliamentary Secretaries shall have all of the rights and privileges of a committee member, but may not vote or move any motion, nor be part of any quorum. « (5) En plus des membres nommés conformément au paragraphe (1) du présent article du Règlement, le whip en chef du gouvernement peut soumettre, à tout moment, un avis au greffier de tout comité permanent, spécial ou législatif pour indiquer qu’un ou plusieurs secrétaires parlementaires seront membres du comité sans droit de vote. Les secrétaires parlementaires ont les mêmes droits et privilèges qu’un membre du comité, mais ils ne peuvent ni y voter ni y proposer des motions, ni faire partie du quorum.
(6)(a) A Minister of the Crown cannot be appointed to or cannot act as a substitute on any standing, legislative or special committee. (6)a) Un ministre de la Couronne ne peut être ni membre, ni agir comme membre substitut d’un comité permanent, législatif ou spécial.
(b) A Parliamentary Secretary cannot be appointed to any standing, legislative or special committee, except as provided for in section (5) of this Standing Order.” b) Un secrétaire parlementaire ne peut être membre d’un comité permanent, législatif ou spécial, sauf dans le cas prévu au paragraphe (5) du présent article. »
5. That the following subsections be added after Standing Order 114.(2)(d): 5. Que les alinéas suivants soient insérés après l’article 114.(2)d) :
“(e) In relation to Parliamentary Secretaries named pursuant to Standing Order 104(5), the Chief Government Whip may effect a substitution of one Parliamentary Secretary for another by filing notice thereof with the clerk of the committee and such a substitution shall be effective immediately when it is received by the clerk of the committee. « e) En ce qui a trait aux secrétaires parlementaires nommés en vertu de l’article 104(5) du Règlement, le whip en chef du gouvernement peut substituer un secrétaire parlementaire pour un autre en déposant avis auprès du greffier du comité et ledit changement s’applique dès que le greffier du comité en a reçu l’avis.
(f) A Parliamentary Secretary named as a non-voting member of a committee pursuant to Standing Order 104(5) shall not be eligible to act as a substitute for a member of that committee.” f) Un secrétaire parlementaire nommé comme membre sans droit de vote en vertu de l’article 104(5) du Règlement ne peut agir comme membre substitut pour un membre de ce comité. »
6. That Standing Order 114.(3) be replaced with the following: 6. Que l’article 114.(3) soit remplacé par ce qui suit :
“(3) Changes in the membership of any legislative committee shall be effective immediately after notification thereof, signed by the Chief Whip of any recognized party, has been filed with the clerk of the committee. Substitutions may be made in the same manner prescribed in section (2) of this Standing Order.” « (3) Les changements dans la composition d'un comité législatif s'appliquent dès le dépôt auprès du greffier du comité d'un avis de ceux-ci signé par le whip en chef d'un parti reconnu. Les substitutions peuvent être effectuées selon les dispositions du paragraphe (2) du présent article. »
7. That Standing Order 116 be replaced with the following: 7. Que l’article 116 soit remplacé par ce qui suit :
“(1) In a standing, special or legislative committee, the Standing Orders shall apply so far as may be applicable, except the Standing Orders as to the election of a Speaker, seconding of motions, limiting the number of times of speaking and the length of speeches. « (1) Un comité permanent, spécial ou législatif observe le Règlement de la Chambre dans la mesure où il y est applicable, sauf les dispositions relatives à l’élection du Président de la Chambre, à l’appui des motions, à la limite du nombre d’interventions et à la durée des discours.
(2)(a) Unless a time limit has been adopted by the committee or by the House, the Chair of a standing, special or legislative committee may not bring a debate to an end while there are members present who still wish to participate. A decision of the Chair in this regard may not be subject to an appeal to the committee. (2)(a) Sauf si une limite à la durée d’un débat a été adoptée par le comité ou par la Chambre, le président d’un comité permanent, spécial ou législatif ne peut mettre fin à un débat alors que des membres présents souhaitent encore y participer. Une décision du président à cet égard ne peut faire l’objet d’un appel au comité.
(b) A violation of paragraph (a) of this section may be brought to the attention of the Speaker by any Member and the Speaker shall have the power to rule on the matter. If, in the opinion of the Speaker, such violation has occurred, the Speaker may order that all subsequent proceedings in relation to the said violation be nullified.” b) Une infraction de l’alinéa a) du présent paragraphe peut être portée à l’attention du Président de la Chambre par un député et le Président peut décider de la question. Si, de l’avis du Président, une telle infraction est survenue, le Président peut ordonner que toutes les délibérations ultérieures en relation avec ladite infraction soient annulées.»
That Standing Order 81 as amended take effect on September 18, 2017, and remain in effect for the duration of the current Parliament; Que l’article 81 du Règlement, tel que modifié, entre en vigueur le 18 septembre 2017 et reste en vigueur pour la durée de la présente législature;
That the other Standing Orders as amended take effect on September 18, 2017; Que les autres articles du Règlement, tels que modifiés, entrent en vigueur le 18 septembre 2017;
That the Clerk of the House be authorized to make any required editorial and consequential alterations to the Standing Orders, including to the marginal notes; and Que le Greffier de la Chambre soit autorisé à apporter les remaniements de textes et modifications corrélatives nécessaires au Règlement de la Chambre, y compris aux notes marginales;
That the Clerk of the House be instructed to print a revised edition of the Standing Orders of the House. Que le Greffier de la Chambre soit chargé de faire imprimer une version révisée du Règlement de la Chambre.

Private Members' Notices of Motions

Avis de motions émanant des députés

Private Members' Business

Affaires émanant des députés

C-211 — May 30, 2017 — Mr. Doherty (Cariboo—Prince George)  — Consideration at report stage of Bill C-211, An Act respecting a federal framework on post-traumatic stress disorder, as reported by the Standing Committee on Health with an amendment. C-211 — 30 mai 2017 — M. Doherty (Cariboo—Prince George)  — Étude à l'étape du rapport du projet de loi C-211Loi concernant un cadre fédéral relatif à l’état de stress post-traumatique, dont le Comité permanent de la santé a fait rapport avec un amendement.
Committee Report — presented on Tuesday, May 30, 2017, Sessional Paper No. 8510-421-222. Rapport du Comité — présenté le mardi 30 mai 2017, document parlementaire no 8510-421-222.
Report and third reading stages — limited to 2 sitting days, pursuant to Standing Order 98(2). Étapes du rapport et de la troisième lecture — limite de 2 jours de séance, conformément à l'article 98(2) du Règlement.
Motion for third reading — may be made in the same sitting, pursuant to Standing Order 98(2). Motion portant troisième lecture — peut être proposée au cours de la même séance, conformément à l'article 98(2) du Règlement.

1 Requires Oral Answer
2 Response requested within 45 days
1 Requiert une réponse orale
2 Demande une réponse dans les 45 jours