Madame la Présidente, nous continuons de travailler avec différents ordres de gouvernement, que ce soit le gouvernement néo-démocrate de la Colombie-Britannique, les gouvernements conservateurs ou libéraux des provinces de l'Atlantique, ou les gouvernements des territoires. Nous continuons de travailler avec les parties prenantes dans les municipalités, avec les peuples autochtones et les différents intervenants. Nous mettons sur pied des programmes comme la Prestation canadienne d'urgence et le programme de subvention salariale. Nous essayons de voir quels groupes ont besoin d'aide, comme les aînés, plus particulièrement, et les personnes en situation de pauvreté.
Aujourd'hui, il est question des personnes handicapées. Ce n'est pas la première fois que nous tentons de leur apporter une aide. Nous ne pouvons pas donner 1 million de dollars à tout le monde d'un coup de baguette magique. Les choses ne fonctionnent pas de cette façon. Il faut tenir compte de certaines réalités. Le gouvernement libéral, avec l'appui d'autres ordres de gouvernement, a su répondre efficacement aux besoins de la société canadienne pour que celle-ci soit bien placée pour la reprise.
Dans quelle mesure, par exemple, mon collègue néo-démocrate aurait-il versé davantage que le paiement unique de 600 $ aux personnes handicapées, le paiement unique de 500 $ aux aînés les plus pauvres au Canada, la somme de 2 000 $ aux bénéficiaires de la PCU pour leur chèque de paie et les millions de dollars en soutien aux petites entreprises?
Qu'aurait-il fait de plus?