Monsieur le Président, le Canada est un pays commerçant. Notre prospérité dépend de notre capacité de vendre nos produits à l'étranger. C'est la raison pour laquelle le gouvernement mène un audacieux programme visant à développer le commerce, à ouvrir des portes à nos exportateurs, à favoriser la croissance économique et à créer des emplois pour les Canadiens.
En seulement quatre ans, le gouvernement conservateur a signé de nouveaux accords de libre-échange avec la Colombie, le Pérou, la Jordanie, le Panama, l'Islande, la Norvège, la Suisse et le Liechtenstein. Nous avons également entamé des négociations commerciales historiques avec les représentants de deux des plus grands marchés du monde: l'Union européenne et l'Inde. Nous travaillons à de nouvelles ententes avec des pays en Europe, en Asie, dans les Amériques, en Afrique et au Moyen-Orient.
Notre bilan, par comparaison avec celui des libéraux, ne pourrait être plus éloquent. En 13 ans, les libéraux n'ont signé que trois accords de libre-échange et ont nui à nos relations à long terme avec l'Inde.
En ces temps difficiles sur le plan économique, les Canadiens peuvent compter sur le gouvernement pour s'opposer au protectionnisme et défendre le commerce libre et ouvert sur la scène mondiale.