Monsieur le Président, il semblerait que le député de Carleton ait aussi hâte que nous de lire l'énoncé économique de l'automne. Il aura la chance de le faire, comme tous les Canadiens, le 21 novembre.
Comme le député le sait très bien, l'énoncé économique de l'automne n'est rendu public que ce jour-là. On peut donc se demander pourquoi nous parlons ici aujourd'hui d'une question dont nous n'avons pas le droit de parler. Toutefois, j'accueille favorablement toute occasion de parler à la Chambre, aux habitants de Vaughan—Woodbridge et à tous les Canadiens du travail que nous faisons, car nous en sommes très fiers. Nous sommes en train de bâtir un Canada meilleur et plus fort. D'un bout à l'autre du pays, les collectivités profitent du plan financier du gouvernement; ce plan est durable, il respecte nos cibles budgétaires et il continue de faire baisser le ratio dette-PIB.
Néanmoins, le discours pessimiste sur l'équilibre budgétaire était le propre du gouvernement précédent, qui a tenté de convaincre les Canadiens que la seule façon de faire croître l'économie était d'imposer des mesures d'austérité. Ce n'est pas le cas, et bien honnêtement, les conservateurs ont manqué à leur devoir envers les Canadiens avec leur plan et leurs discours.
En fait, le travail que fait l'actuel gouvernement suscite des éloges partout dans le monde. Un sondage d'Ipsos MORI auprès de 18 000 répondants de 25 pays publié en juillet l'an dernier révèle que le Canada est considéré comme le pays ayant l'influence la plus positive dans le monde. Le FMI salue le Canada comme un modèle économique mondial, sa directrice générale, Christine Lagarde, ayant déclaré que le monde a besoin d'autres pays comme le Canada. Cette année, A.T. Kearney a publié une étude qui classe le Canada au second rang des pays les plus intéressants pour investir dans ce merveilleux monde où nous vivons. Cette bonne cote est attribuable au fait que le Canada a choisi d'axer l'économie sur la population et la croissance inclusive, une formule grâce à laquelle la croissance et la prospérité économiques bénéficient à tous et, au Canada, à l'ensemble des Canadiens.
Dès son arrivée au pouvoir, l'actuel gouvernement a axé son plan de croissance économique sur la population. D'ailleurs, cette semaine, pendant que nombre d'entre nous étions dans nos circonscriptions respectives, j'ai eu l'occasion de m'entretenir directement avec le PDG de la société Martinrea, un chef de file dans le secteur des pièces automobiles. Martinrea est la troisième compagnie en importance de ce secteur au Canada et elle emploie 511 travailleurs dans une magnifique usine située dans ma circonscription. Le PDG a souligné que le formidable plan économique du gouvernement est une réussite. Il a également félicité le gouvernement d'avoir conclu les négociations qui ont mené au nouvel Accord États-Unis—Mexique—Canada. Voilà le genre d'entretiens que les députés ont avec les Canadiens et les dirigeants d'entreprises d'un bout à l'autre du pays au sujet des perspectives économiques et des mesures que prend le gouvernement pour stimuler la croissance, renforcer la classe moyenne et faire en sorte que tous les Canadiens possèdent les compétences voulues pour réussir.
Nous sommes arrivés avec la ferme intention d'aider les Canadiens qui travaillent fort à récolter davantage les bénéfices découlant d'une économie forte et en pleine croissance, et c'est exactement ce que nous avons fait.
C'est la raison pour laquelle la première action du gouvernement a été de demander aux Canadiens du palier supérieur de 1 % de payer un peu plus, afin de pouvoir baisser les impôts de la classe moyenne.
Grâce à la réduction des impôts de la classe moyenne, plus de 9 millions de Canadiens peuvent faire plus d'économies, faire des investissements ou acheter ce dont ils ont besoin.
En outre, pour aider les parents à élever leurs enfants, le gouvernement a créé l'Allocation canadienne pour enfants, ou ACE, une allocation plus généreuse et non imposable qui vise les familles qui en ont le plus besoin.
Grâce à l'ACE, neuf familles canadiennes sur dix touchent une allocation plus importante que dans le cadre du système précédent.
Les conservateurs avaient mis en place un système injuste, puisque des millionnaires ont reçu des chèques au détriment des familles qui avaient vraiment besoin de soutien.
Cette allocation a permis de sortir de la pauvreté des centaines de milliers d'enfants. Grâce à la baisse des impôts et à des mesures comme l'ACE, une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne dispose désormais d'environ 2 000 $ de plus par année pour élever ses enfants, épargner pour l'avenir et contribuer à la croissance de l'économie au profit de tous. Cet argent change la vie de ces familles et les aide, par exemple, à nourrir sainement leurs enfants ou à leur acheter des bottes d'hiver neuves.
Qui plus est, l'an dernier, à la même époque, le gouvernement a pris des mesures pour aider les travailleurs à faible revenu, ce qui a conduit à l'introduction dans le budget de 2018 de l'Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L'ACT est une version améliorée, plus généreuse et plus accessible de la prestation fiscale pour le revenu de travail.
À compter de janvier 2019, l'ACT permettra aux travailleurs à faible revenu d'avoir plus d'argent dans leur portefeuille. Elle encouragera également un plus grand nombre de personnes à occuper un emploi et à le garder, tout en offrant une aide réelle à plus de 2 millions de Canadiens qui travaillent fort pour intégrer la classe moyenne.
Nous prenons aussi des mesures importantes pour aider les personnes âgées. Après une vie de dur labeur, la retraite est censée être la récompense. Or, au Canada, pour beaucoup d'aînés, surtout les femmes, elle implique simplement des difficultés financières. Nous croyons que cette situation est inacceptable. Voilà pourquoi nous bonifions le Supplément de revenu garanti pour les personnes âgées seules ayant un revenu modeste, donnant ainsi aux aînés les plus vulnérables une sécurité financière et une tranquillité d'esprit.
Nous avons aussi amélioré le Régime de pensions du Canada, le RPC, une mesure historique s'il en est. Grâce à l'amélioration du RPC, qui entrera progressivement en vigueur à partir de janvier 2019, les Canadiens auront plus d'argent lorsqu'ils prendront leur retraite et pourront ainsi moins se soucier de leurs économies et passer plus de temps avec leur famille.
En collaborant avec les provinces et les territoires pour améliorer le Régime de pensions du Canada, et grâce à la décision du gouvernement de rétablir l'âge d'admissibilité à la Sécurité de la vieillesse à 65 ans au lieu de 67 ans, davantage de Canadiens pourront passer leurs années de retraite dans de meilleures conditions et dans la dignité.
Grâce aux quelque 300 000 projets d'infrastructure approuvés depuis 2016, nous bâtissons également des collectivités fortes et résilientes. La majorité de ces infrastructures sont déjà en cours de réalisation, créant ainsi davantage d'emplois bien rémunérés et de qualité pour la classe moyenne.
Par ailleurs, grâce à bon nombre de ces mesures économiquement utiles, la confiance des consommateurs se situe aujourd'hui à un niveau quasiment sans précédent. En ayant plus d'argent à leur disposition, les consommateurs canadiens ont toutes les raisons d'avoir plus confiance en leur situation financière. Ce n'est pas seulement le cas des Canadiens, c'est aussi vrai pour les entreprises qu'ils dirigent. Depuis 2015, les bénéfices après impôt des entreprises canadiennes ont presque doublé, ce qui signifie que les entreprises et les Canadiens qui les dirigent disposent de plus de ressources pour faire des investissements et stimuler la croissance économique.
Nous reconnaissons que les petites entreprises sont des moteurs clés de l'économie. Parmi tous les emplois du secteur privé, 60 % se trouvent dans les petites entreprises. C'est pourquoi nous avons réduit leurs impôts l'an dernier. En janvier, le gouvernement a réduit le taux d'imposition des petites entreprises à 10 %, et en janvier 2019, nous réduirons à nouveau le taux, qui tombera à 9 %. Le taux d'imposition combiné fédéral-provincial-territorial des petites entreprises sera alors de 12,2 %, de loin le taux le plus bas des pays du G7.
Les résultats de ces mesures sont très éloquents. L'économie canadienne est de toute évidence forte et en pleine croissance. En 2017, avec un taux de 3 %, le Canada a connu la plus forte croissance économique de tous les pays du G7, et il devrait continuer à afficher, cette année et l'année prochaine, l'un des taux de croissance économique les plus forts.
Par ailleurs, il y a plus de bons emplois bien rémunérés pour les Canadiens. Au cours des trois dernières années, les Canadiens ont créé plus d'un demi-million d'emplois à temps plein, ce qui a fait chuter le taux de chômage à son niveau le plus bas depuis 40 ans. Les salaires des Canadiens ont augmenté. Pour le travailleur canadien moyen, la hausse des salaires est plus rapide que celle de l'inflation. Si les tendances actuelles se maintiennent, 2018 pourrait marquer l'année de croissance des salaires la plus forte depuis presque une décennie.
La confiance des consommateurs est forte et les profits des entreprises sont à la hausse, ce qui ouvre la voie à d'autres investissements susceptibles d'entraîner la création de plus d'emplois intéressants et mieux rémunérés pour les Canadiens.
Nous savons que nous ne pouvons pas tenir pour acquise la force économique du Canada. Nous avons connu une année difficile, en raison surtout de la récente réforme fiscale aux États-Unis et des inquiétudes concernant les effets potentiels sur les entreprises canadiennes des différends commerciaux mondiaux.
Comme nous le savons tous, le gouvernement actuel a travaillé fort avec ses partenaires mondiaux. Nous avons conclu l'Accord économique et commercial global, qui donne d'excellents résultats au Canada et en Europe. Nous avons conclu et ratifié l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste, qui entrera en vigueur à la fin de l'année. Il s'agit là d'une autre initiative qui bénéficiera à beaucoup de commerces et d'entreprises, y compris les exploitations agricoles, d'un bout à l'autre du pays.
Contrairement à d'autres, nous sommes parvenus à nous entendre avec les États-Unis sur un nouvel accord de libre-échange révisé entre nos deux pays et le Mexique. L'Accord États-Unis—Mexique—Canada offrira davantage de certitude aux entreprises partout au pays. Lorsque j'ai rencontré cette semaine le président-directeur général de Martinrea, Rob Wildeboer, dans ma circonscription, Vaughan—Woodbridge, ses remarques n'ont fait que confirmer que nous avons pris les mesures appropriées pour signer l'accord qui convient.
J'ai également rencontré les représentants d'Unico, l'un des principaux transformateurs agroalimentaires au pays. Ses propriétaires et gestionnaires ont eux aussi affirmé que le gouvernement était sur la bonne voie économique. J'ai été ravi d'entendre que ces entreprises continueront d'investir ici, au Canada, et dans ma circonscription, Vaughan—Woodbridge.
L'été dernier, le gouvernement a entendu de nombreux propriétaires et chefs d'entreprises dire qu'ils étaient vivement intéressés à effectuer des investissements, le type d'investissements qui peuvent favoriser la croissance à long terme des entreprises et créer de bons emplois bien rémunérés pour les travailleurs canadiens.
Les représentants de nombreuses entreprises ont affirmé qu'ils avaient été soulagés quand nous avons annoncé notre nouvel accord commercial avec les États-Unis et le Mexique parce que la conclusion de cet accord les aidera réellement à investir dans l'avenir en toute confiance. Nous avons dissipé toutes les incertitudes, et nous savons que c'est essentiel à la réussite des entreprises.
La coopération entre le Canada et les États-Unis n'a rien de nouveau. Nous avons une relation de longue date qui est fructueuse. C'est une relation que le monde entier nous envie vraiment. Les liens qui existent entre nos peuples, nos gouvernements et nos économies produisent des résultats positifs pour les deux pays depuis plus de 150 ans. Nous savons que c'est en travaillant ensemble et en nous assurant que toutes les régions du pays sont vraiment ouvertes aux affaires que nous pourrons continuer à offrir de vrais résultats aux gens au cours des prochaines années. L'accord que nous avons récemment conclu avec les États-Unis et le Mexique réaffirme l'importance de notre relation commerciale avec nos voisins de l'Amérique du Nord.
Nous accueillons favorablement ce nouvel accord commercial modernisé, car nous savons qu'il soutiendra de bons emplois bien rémunérés pour la classe moyenne de partout au pays. Comme on l'a beaucoup répété à la Chambre et comme les gens de ma circonscription, Vaughan—Woodbridge, me le répètent, les Canadiens travaillent. Ils travaillent même très fort. Il y en a, des emplois.
La Fédération canadienne de l'entreprise indépendante et d'autres sources estiment qu'il y a plus de 500 000 postes à pourvoir au Canada. Cela montre que le bilan économique du gouvernement libéral est positif. C'est un bilan dont nous pouvons être fiers et qui montre à tous les Canadiens, tout simplement, que le gouvernement défend leurs intérêts, et qu'eux-mêmes et leur famille peuvent envisager l'avenir avec fierté et avec confiance.
Nous accueillons favorablement ce nouvel accord commercial modernisé, car nous savons qu'il soutiendra de bons emplois bien rémunérés pour la classe moyenne de partout au pays. Je tenais à le répéter pour rappeler que nous avons à coeur de favoriser la création de bons emplois pour la classe moyenne du Canada.
Parallèlement à cela, nous savons que nous devons en faire plus pour préserver et maintenir l'avantage concurrentiel du Canada. Il y a un domaine où cela a été clairement dit: celui de l'égalité des sexes. Les Canadiennes sont parmi les femmes les plus scolarisées du monde; or, elles sont moins susceptibles d'être sur le marché du travail et plus susceptibles de travailler à temps partiel.
Cette sous-représentation persiste aux postes de direction et, au Canada, les entreprises appartiennent en très grande majorité à des hommes. Plusieurs facteurs sont en cause, notamment le fait que les Canadiennes sont plus en demande dans les domaines de travail non rémunéré, ce qui les empêche de chercher des occasions de réaliser tout leur potentiel.
Notre économie ne fonctionne pas à pleine capacité lorsque les femmes qui souhaitent y participer ne peuvent le faire. Le taux de participation des femmes au Canada est actuellement à son plus haut et il a augmenté progressivement sous notre gouvernement. Après chaque mesure que nous avons prise, nous avons vu un effet stimulant et un véritable encouragement pour les femmes à intégrer le marché du travail. Nous avons franchement de quoi être fiers. Nous savons que le Canada ne réussit pas tant que tous les Canadiens ne réussissent pas et cela vaut en ce qui a trait à l'égalité entre les sexes.
Je suis l'heureux père de deux jeunes filles qui grandissent vite. Je sais que les mesures que nous prenons aujourd'hui leur seront bénéfiques au cours des prochaines années. En toute franchise, je suis fier de faire partie d'un gouvernement qui fait de l'égalité hommes-femmes une priorité.
Les faits parlent d'eux-mêmes. Selon Recherche économique RBC, si plus de femmes se joignaient à la population active, le PIB du Canada pourrait connaître une croissance allant jusqu'à 4 %. Lorsque les femmes et les filles ont des chances égales de contribuer à la croissance économique et d'en profiter, l'économie s'en porte mieux. Il est grand temps de faire en sorte que tous les Canadiens, en particulier les femmes, aient la possibilité de réussir et d'être des chefs de file. C'est pourquoi notre plus récent projet de loi d'exécution du budget prévoit plusieurs mesures pour promouvoir l'égalité hommes-femmes au Canada. Ce projet de loi propose notamment d'aider les nouveaux parents à prendre soin de leurs enfants pendant les importants premiers mois qui suivent la naissance grâce à la nouvelle prestation parentale partagée de l'assurance-emploi, qui offre cinq semaines de prestation supplémentaires afin d'encourager un partage plus équitable des responsabilités parentales au foyer et de donner plus de marge de manoeuvre aux parents — en particulier les mères — qui souhaitent retourner au travail plus tôt, sachant que leur famille recevra le soutien dont elle a besoin.
Nous prenons aussi des mesures pour éliminer les inégalités entre les hommes et les femmes dans les milieux de travail assujettis à la réglementation fédérale, notamment en exigeant qu'un salaire égal soit versé pour un travail de valeur égale. C'est une mesure toute simple qui tombe sous le sens. Les gens qui font un travail de valeur égale devraient avoir un salaire égal — si c'est le terme qu'on veut employer —, et nous sommes sur la bonne voie. Actuellement, nous savons que, pour un travail qui suppose les mêmes responsabilités, une femme gagne environ 88,5 cents pour chaque dollar gagné par un homme. Il faut combler cet écart, et c'est ce que nous ferons grâce aux mesures contenues dans le projet de loi d'exécution du budget qui est actuellement à l'étude au comité des finances. Ce projet de loi touchera environ 1,2 million d'employés au pays.
Ma circonscription, Vaughan-Woodbridge, est une circonscription à la fibre très entrepreneuriale. Les gens ont beaucoup de succès. Je sais que ce qui leur importe, c'est l'économie. J'ai travaillé dans le secteur mondial des services financiers pendant 20 ans. À mon humble avis, le gouvernement fait ce qu'il faut en matière d'économie. Nous investissons dans les Canadiens. Nous investissons au Canada. Nous veillons à ce que les Canadiens aient les compétences dont ils ont besoin pour réussir dans le monde d'aujourd'hui et dans celui de demain. Nous veillons à ce que nos enfants tirent parti de la science, de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques, sachent lire et écrire et aient les connaissances financières nécessaires pour réussir.
Nous maintenons qu'une économie forte est le résultat d'une classe moyenne forte, et nos politiques et nos résultats en témoignent. Au cours des trois dernières années, le gouvernement a investi dans les Canadiens et dans ce qui compte le plus pour eux. Ces investissements reflètent le choix de rejeter les politiques d'austérité du passé et d'investir plutôt judicieusement dans la classe moyenne, de faire croître l'économie et, oui, d'aider ceux qui veulent faire partie de la classe moyenne. C'est ce que nous avons fait.
Les investissements faits par le gouvernement s'appuient sur une saine gestion financière. Selon les tableaux de référence financiers et les rapports de l'OCDE, la situation financière du Canada se classe parmi les meilleures au monde et continuera à s'améliorer. En effet, nous sommes résolus à conserver un faible ratio de la dette nette par rapport au PIB, un ratio qui est en baisse constante. Il est en ce moment le plus bas du G7.
Depuis notre arrivée au pouvoir, certaines des mesures que nous avons prises ont carrément changé la vie de centaines de milliers de familles canadiennes. Nous aurons d'autres initiatives à annoncer dans le cadre de la mise à jour économique de l'automne mercredi prochain.
J'en arrive à ma conclusion. La semaine dernière, j'ai discuté avec un certain nombre de dirigeants d'entreprises de Vaughan—Woodbridge. Certains d'entre eux sont à la tête d'entreprises aux chiffres d'affaires de 4 ou 5 milliards de dollars. Ils m'ont dit que nous sommes sur la bonne voie. Il est vrai que le gouvernement a pris diverses mesures pour stimuler l'économie, mais ce qui est plus important encore, c'est qu'il permet aux entreprises d'investir en toute confiance aujourd'hui et en vue de l'avenir. Nous réduisons le taux d'imposition des petites entreprises. Nous appuyons de toutes sortes de façons les entreprises dans ma circonscription, Vaughan—Woodbridge, et partout dans notre beau pays. Les accords commerciaux que nous avons conclus renforcent la classe moyenne, créent de bons emplois et améliorent les relations entre le Canada et ses partenaires en Europe, en Amérique du Nord et en Asie.