Merci, monsieur le président.
J'aurais préféré que M. Therrien puisse continuer, parce qu'il est clairement un expert dans son domaine et qu'il a beaucoup de choses à dire.
Monsieur Therrien, merci d'être avec nous aujourd'hui. Je crois qu'il s'agit d'une étude importante, parce que les Canadiens sont préoccupés par la question de la protection des renseignements personnels. Je crois, monsieur Therrien, que cette étude va aussi permettre au Comité d'examiner en profondeur les questions que vous avez soulevées dans votre déclaration et au sujet desquelles vous avez écrit aux autres commissaires à la protection de la vie privée. Vous avez écrit au gouvernement au sujet de la protection des renseignements personnels dans le contexte de la pandémie.
Le point que je tiens vraiment à clarifier concerne la consultation avec le Commissariat. Je crois — et j'imagine que beaucoup de Canadiens le croient également — que le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada est la première organisation qui doit être consultée, avant toutes les autres. Pour dire les choses autrement, vous représentez les normes à respecter à l'égard de la vie privée au Canada. Cependant, nous entendons différents sons de cloche: certains disent que vous avez été consultés, et d'autres, non.
L'ASPC a fait savoir qu'elle allait consulter d'autres experts en sécurité et en protection des renseignements personnels. Qu'est‑ce que ces autres experts en sécurité et en protection des renseignements personnels peuvent offrir de plus que le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada?