Monsieur le Président, je suis contente dela question de mon collègue sur la gestion de l’offre. Cela me touche beaucoup. On a beaucoup entendu parler de la gestion de l’offre, au Québec. Toutefois, d’après ce que me disent les producteurs laitiers et les producteurs de volaille, ils sont quand même très satisfaits.
Il ne faut pas oublier qu’il y a aussi de nouvelles occasions. Je pense au sucre raffiné et à la margarine. Il y a des marchés qui s’ouvrent. On est capable d’aller là-bas.
J’aurais aimé que mon collègue néo-démocrate, qu’on a souvent entendu parler de commerce international, me dise s’il y avait un accord, à part celui entre le Canada et l’Ukraine que les néo-démocrates auraient pu accepter. Selon eux, aucun accord n’est assez bon pour être accepté.
Quant aux députés de l’opposition officielle, ils étaient prêts à accepter n’importe quel accord le plus vite possible. Selon eux, n’importe quoi était bon à prendre, sans négociation.