Monsieur le Président, je sais que le député a siégé à l'Assemblée législative de l'Ontario avec mon père, qui avait de bonnes choses à dire sur lui. Il a débarqué du NCSM Titanic avant que Kathleen Wynne ne fasse couler les libéraux en Ontario, de plusieurs façons, car ils ont rendu l'économie ontarienne moins concurrentielle. Un climat d'impôts élevés et de réglementation lourde a chassé les investissements vers les États-Unis et vers d'autres pays.
En plus des difficultés au chapitre de la concurrence dont ont hérité nos cousins conservateurs ontariens, après 15 ans des libéraux au pouvoir, nous sommes maintenant aux prises avec l'incertitude sur le plan commercial, des droits de douane et un accès aux marchés mondiaux potentiellement réduit, ce qui rend Mississauga, la région du Grand Toronto et l'Ontario moins attrayants pour les investissements.
La plupart des gens savent que le repli de l'industrie de l'automobile, qui touche l'industrie des pièces automobiles à Durham, est l'aboutissement de trois choses: les taxes, les droits de douane et l'incertitude entourant le commerce — toutes des choses attribuables aux gouvernements libéraux provincial et fédéral.
Le député perçoit-il la réimposition des droits de douane sur l'acier et l'aluminium comme une menace pour la compétitivité de l'Ontario?