Madame la Présidente, le dossier de l'assurance-médicaments n'a pas progressé sous les libéraux depuis qu'ils l'ont inscrit dans le Livre rouge de 1993. Nous le soulevons parce qu'ils n'ont toujours rien fait à cet égard. Encore aujourd'hui, des gens n'ont pas les moyens de se procurer les médicaments qui leur sont prescrits et dont ils ont besoin. Nous parlons d'instaurer l'assurance dentaire parce que c'est logique.
La première réduction d'impôts consentie à la classe moyenne par les libéraux n'a rien apporté aux personnes qui gagnent 45 000 $ par année ou moins, tandis que les personnes qui gagnent plus de 100 000 $ par année ont obtenu 700 $. C'est illogique. Cela n'a pas aidé les gens dont parle le député.
En ce moment, les libéraux ont une occasion en or d'investir dans la transition vers l'énergie propre, vers un avenir qui fonctionne pour tout le monde, d'investir dans les gens. Nous savons que, lorsque nous investissons dans les soins de santé, cela permet de réaliser des économies à long terme. La même chose vaut pour le logement.
Par conséquent, nous demandons aux libéraux d'effectuer ces investissements essentiels plutôt que de permettre à leurs amis de transférer de l'argent dans des paradis fiscaux à l'étranger, de permettre les échappatoires fiscales liées aux options d'achat d'actions dont profitent les PDG ou de renflouer leurs amis du milieu des affaires.