Monsieur le Président, je remercie le député de son discours. Au député libéral, je répondrai que, certes, je sais que tout le monde travaille fort, mais il parle d'un mois et trois jours, alors que, parallèlement, les Américains ont été en mesure de verser le même montant, ou même plus, en trois jours et non en un mois et trois jours.
Je veux simplement dire que nous poursuivons nos efforts pour améliorer les programmes. L'objet du débat d'aujourd'hui est un bon exemple. L'industrie laitière mérite cela pour éviter qu'elle ait à détruire le produit qu'elle a traité. Étant donné le coût des intrants dans le processus, ce serait dommage d'avoir à tout jeter.
Dans beaucoup d'autres dossiers, nous avons entendu le gouvernement dire: « Voici 10 % de ce qui a été demandé et peut-être que vous en recevrez davantage plus tard. » Pour revenir au point que vous soulevez, nous ne savons tout simplement pas ce qui s'en vient. Dans une situation désespérée et fluctuante, lorsqu'on a déjà vu ce qui avait été demandé, tout le monde se trouve dans un état d'incertitude. J'aimerais connaître vos observations là-dessus.