Mesdames Sgro et Block, je vous remercie de vos présentations.
Je tiens à dissiper toute ambiguïté quant à la nature de ce dont le BRI est saisi. Il ne s'agit pas d'approuver le centre d'accueil des visiteurs — et je ne pense même pas qu'un déménagement dans un centre d'accueil des visiteurs ait fait consensus —; nous proposons de lancer un appel d'offres pour le contrat d'excavation devant débuter en janvier 2020.
L'estimation de 22 000 mètres carrés permet au BRI, après l'élection, soit d'augmenter la superficie, dans le cas de l'ajout du centre d'accueil des visiteurs — je pense qu'il y aura un moment et un endroit pour en discuter et en débattre —, soit de réduire la superficie pour satisfaire aux exigences minimales, ce qui, selon M. Patrice et M. Wright, est nécessaire à la modernisation des éléments mécaniques de l'édifice du Centre. La superficie serait alors de 12 500 mètres carrés.
Je dirais que nous considérons tous les trois l'adaptabilité comme une caractéristique très importante. Nous n'avons pas à décider du sort du Centre d'accueil des visiteurs maintenant. Le contrat d'excavation nous permet de limiter le projet à l'essentiel ou — si le BRI choisissait l'option d'un centre d'accueil des visiteurs le plus grand possible — de porter la superficie à environ 33 000 mètres carrés.
Le contrat d'excavation n'est pas contraignant et n'équivaut pas à l'approbation du Centre d'accueil des visiteurs. Ce n'est pas le cas. C'est une question qui me tient à cœur, et il ne s'agit pas d'une décision que nous devrions prendre quelques semaines avant des élections générales. Il incombera au BRI et au comité qui sera formé après les élections d'en débattre et de décider si le contrat d'excavation sera réduit à l'essentiel, soit 12 500 mètres carrés, ou adapté à un autre concept.
Je suis prêt à recommander l'octroi du contrat d'excavation et la mise en œuvre, mais en gardant à l'esprit que le BRI pourra décider, au cours de la nouvelle année, de limiter cela à l'essentiel.