Oui, mais j'aimerais d'abord faire un commentaire. Il sera peut-être suivi d'une question.
D'après l'explication qui a été fournie pour justifier la nécessité des ressources supplémentaires, je ne vois pas… Je sais qu'on a verbalement mentionné le caractère temporaire de la situation, mais dans l'ensemble, cela ressemble à une situation qui s'est présentée même avant la pandémie, c'est‑à‑dire qu'il y a eu une augmentation du travail des comités et du nombre de témoins. En effet, une augmentation du nombre de témoins de l'ordre de 74 % entre la 41e et la 42e législature n'est pas négligeable. Cela demande beaucoup de travail sur le plan administratif.
Puisque j'ai vu cette situation de près au sein de nombreux comités, je pense que nous devrions réellement approuver cette demande, car il ne s'agit pas d'un besoin temporaire. La 42e législature s'est déroulée avant la pandémie. Il se passe quelque chose si les comités ressentent le besoin d'inviter tous ces témoins et de créer des comités spéciaux. Je sais que, parfois, les comités ont eu plus de membres et que ces derniers ont voyagé, et ces demandes sont venues des deux côtés de la Chambre.
Dans la situation actuelle, je ne pense pas qu'il soit approprié de ne pas accorder l'augmentation demandée. Comme d'autres députés l'ont dit, nous devrions même revenir à la charge et déterminer comment nous pouvons augmenter les ressources consacrées à l'interprétation, car ce service est certainement nécessaire.
Je tenais simplement à ajouter ces commentaires au compte rendu.