Monsieur le Président, en matière de lutte contre les changements climatiques, nous avons présenté le plan le plus complet qui soit au Canada. La réalité, c'est que les changements climatiques constituent un problème mondial qui exige une solution mondiale. Nous voulons investir dans les technologies, notamment les technologies propres, et nous appuyons toutes celles qui s'imposent en matière de production d'énergie.
Nous croyons en l'investissement dans la technologie. Voici d'ailleurs ce que j'ai dit aux élèves des nombreuses écoles secondaires de Northumberland—Peterborough-Sud que j'ai visitées au cours de ma tournée: le remède à certains de nos plus grands maux sera peut-être découvert par quelqu'un dans cette salle. J'espère que la solution se trouve juste là, peut-être à l'Université de Toronto ou à l'Université d'Ottawa. J'ai tellement hâte de voir ce que l'avenir nous réserve, et le tout s'annonce très prometteur. J'attends avec impatience les excellentes solutions qui verront le jour.
À la limite, nous pourrions paralyser notre économie aujourd'hui même, mais cela n'aurait aucun effet concret sur les changements climatiques. En revanche, si nous mettons au point ces technologies, que ce soit à l'Université d'Ottawa, à l'Université de Toronto ou à l'Université York, où j'ai fait mes études, et si nous les exportons vers la Chine et l'Inde, nous pourrons vraiment nous attaquer à l'énorme problème que posent les changements climatiques.