Monsieur le Président, j'aime bien siéger au Comité spécial sur les relations sino-canadiennes avec mon collègue.
J'aimerais seulement répondre à certains de ses propos, et il pourra peut-être répondre à mes observations par la suite. Il a parlé de la situation en Israël et des Palestiniens. Ce serait un sujet très intéressant que le Bloc québécois pourrait proposer en présentant une motion lors d'une journée de l'opposition, s'il en a l'occasion. C'est une question importante. Je ne vais pas exposer mon point de vue à ce sujet, parce qu'il me faudrait au moins 10 minutes pour le faire. C'est une question importante dont nous pourrions peut-être discuter dans un autre contexte.
Le député s'interroge sur nos intentions. Je pense que mes intentions sont des plus pures. Cependant, au bout du compte, il n'a pas à voter en fonction de mes intentions, mais seulement en fonction de la teneur de la motion.
Cet amendement essentiel a ceci de particulier qu'il permettrait au comité de se réunir par voie numérique. Actuellement, même si le Comité spécial sur les relations sino-canadiennes voulait se réunir, il ne le pourrait pas, puisqu'il n'a pas la permission spéciale dont il a besoin pour mener ses travaux par vidéoconférence. Ainsi, en appuyant cet amendement, les députés permettront au comité de mener ses importants travaux par vidéoconférence. Si le député pense que le comité devrait être en mesure de se remettre au travail à distance, étant donné la grande importance que revêt la relation entre le Canada et la Chine dans les circonstances actuelles, alors je lui recommande d'appuyer l'amendement afin que le comité puisse reprendre ses travaux.