Cette option illustre les difficultés que nous rencontrons, je crois. Ce n'est pas une option que nous suggérerions fortement ou dont nous recommanderions la mise en oeuvre. Nous nous employons à élaborer un vaste éventail d'options. Cela indique que, si la chambre souhaite maintenir son aménagement actuel, c'est essentiellement la seule façon d'accommoder cela. Cette option a de nombreux désavantages, que nous reconnaissons.
Sinon, il faudrait avoir une discussion à propos des autres aménagements qui fonctionneraient pour la Chambre des communes, que ce soit — et je réfléchis un peu à voix haute maintenant — un genre d'évolution avec le temps vers des bancs semblables au modèle adopté au Royaume-Uni, que ce soit l'adoption d'une approche très différente et plus radicale en matière d'aménagement des sièges, que ce soit un agrandissement de la chambre. Ce sont là des considérations très importantes qui, comme Mme Garrett l'a indiqué, rendent cruciale l'importance de prendre des décisions aussitôt que possible et de maintenir ces décisions jusqu'à la fin du projet.
L'agrandissement de la chambre est à lui seul une tâche très difficile. D'un point de vue structurel et architectural, cette partie de l'édifice présente certaines difficultés de taille. Il est possible d'agrandir la chambre, comme il est possible de mettre en oeuvre la plupart des idées, mais cela entraînerait des coûts importants. Avant de prendre cette décision, il faudrait, selon moi, que nous ayons épuisé un vaste éventail d'options et que nous soyons certains qu'il y a consensus quant à l'option qui nous semble correcte.