Merci beaucoup, monsieur le président.
Merci à tous les témoins qui participent à la séance d'aujourd'hui.
Je sais que M. Ross ne peut pas nous répondre, mais je tiens tout de même à souligner quelques-uns des éléments dont il a traité. Il a parlé des réseaux électriques qui ne sont pas toujours fiables, du recours au diesel et de la nécessité de le remplacer en précisant bien sûr que les différentes ressources n'ont pas toutes le même impact. Nous voyons les problèmes qui peuvent se poser ailleurs dans le monde. Si l'on revient notamment à la question des réseaux électriques californiens, on constate que l'on exerce là‑bas de fortes pressions en faveur des véhicules électriques, mais que l'on peine actuellement à éclairer les édifices. Ce sont là des questions qui nous préoccupent et que je tenais à soulever sur cette tribune. Peut-être, monsieur Ross, pourriez-vous nous indiquer ce que vous en pensez.
Madame Jackson, merci beaucoup d'être avec nous aujourd'hui. Vous nous avez notamment parlé des 170 collaborateurs, si je ne m'abuse, et des 35 employés de votre groupe. J'aimerais savoir de quel genre d'organisations viennent ceux qui collaborent avec vous.
Je pose la question dans un contexte bien précis. Peu importe ce que nous essayons de construire et la technologie verte que nous utilisons, il faut des mesures précises, de la première pelletée de terre jusqu'à la remise en état complète du chantier, pour avoir une juste évaluation des répercussions. Il en va de même aussi bien des barrages hydroélectriques que des éoliennes, des panneaux solaires, du pétrole et du gaz et de l'hydrogène. Tous ces éléments doivent être pris en considération. Nous devons ensuite déterminer les impacts sur les émissions de gaz carbonique, si cela demeure l'un de nos sujets de préoccupation.
Je sais que 170 collaborateurs, c'est beaucoup de monde, mais pouvez-vous nous donner une idée des compétences de ces gens capables de réaliser de telles évaluations?