Selon mon expérience, elles font de l'excellent travail...
M. Jeff Ridal: Oui, en effet.
M. Bernard Trottier: ... et à différents niveaux. Elles recueillent par exemple certaines données sur les espèces. Elles s'occupent beaucoup également de consultations, d'éducation et de sensibilisation.
Comme vous l'avez dit, les plans d'assainissement sont vraiment importants. J'imagine qu'à l'échelon local, chaque secteur de préoccupation est associé à sa propre liste de priorités, et c'est pourquoi il est bon d'avoir ce type de plan reposant sur une approche ascendante pour la mise en oeuvre des plans d'assainissement.
À Toronto, par exemple, il y a beaucoup de projets de restauration de l'habitat en cours dans quelques-uns des bassins hydrographiques, des projets touchant les espèces envahissantes — la lamproie marine —, et même des études et des plans de prévention touchant la carpe asiatique, par exemple. Espérons que cette espèce n'atteindra pas nos côtes.
Pourriez-vous clarifier les modèles de financement des offices de protection de la nature? J'ai l'impression que le gouvernement fédéral verse un financement important à chacun d'eux. Le financement est-il le même pour les différents offices de protection de la nature de l'Ontario?