Merci beaucoup, monsieur le président.
Je remercie les deux témoins de leurs présentations aujourd'hui.
J'aime revenir à l'anglais, comme vous le savez, pour parler de la fonction publique.
Je pense que cela montre bien que le numéro matricule n'est pas considéré comme un CIDP. Il y a une sorte de division... J'estime que c'est un énorme problème qu'on ne reconnaisse pas comme faisant partie de la fonction publique le groupe de fonctionnaires le plus important dont les membres servent le Canada à l'étranger au péril de leur vie.
Je pense qu'il y a des trucs qui se retrouvent souvent dans vos témoignages et ceux que nous avons entendus auparavant, notamment le besoin de former les gestionnaires en prévision de l'emploi. Il semble y avoir un obstacle très important. Il faudrait peut-être aussi établir des cibles. On me disait tantôt que le département de l'Énergie aux États-Unis a une cible de 20 %, ce qui est quand même impressionnant. Je pense que c'est un point essentiel.
D'un autre point de vue, je vais vous demander de rêver un peu. On parle d'un plan de transition qui serait appliqué avant que les gens quittent la vie militaire pour les aider à faire face au choc culturel, au fait de ne plus voir sa vie gérée au quotidien, d'avoir à apprendre comment répondre lors d'une entrevue, et cela, au-delà des besoins médicaux ou autres. Il s'agirait d'avoir un plan de transition qui serait mis en oeuvre avant la démobilisation.
J'aimerais que vous rêviez pour nous pour voir ce que cela pourrait comprendre.