Merci, monsieur le président.
Messieurs Cormier, Brun et Berthiaume, je vous remercie d’être ici. Vous êtes les bienvenus. Je crois que vous avez très bien saisi notre intention, c'est-à-dire échanger pour rétablir la confiance des personnes qui sont extrêmement inquiètes. Vous l’avez bien dit. Comme vous, nous entendons parler ces gens-là. C’est encore plus intéressant pour nous, puisque nous venons de terminer une étude. En fait, nous avons plutôt ouvert la porte aux députés de la prochaine législature en ce qui concerne la cybersécurité dans le secteur financier. Dans ce contexte-là, cela nous intéresse particulièrement.
Puisqu'on ne l’a pas mentionné encore, je dirais que, comme députés québécois, nous ne sommes pas ici pour faire une chasse aux sorcières. Avec le nombre d'activités auxquelles nous assistons, nous constatons clairement que Desjardins est un partenaire local de la communauté. Nous voulons travailler ensemble, et je pense que votre recommandation d'aujourd’hui va dans ce sens-là. Alors, je vous remercie.
J’aimerais aborder quelques éléments, en espérant que vous puissiez répondre à quelques questions. Je comprends les contraintes sous lesquelles vous vous présentez. La première chose est toute simple et semble niaiseuse, mais il s'agit des services français d'Equifax. Quelques personnes ont signalé qu'elles avaient de la difficulté à obtenir des services en français. Avez-vous collaboré avec eux pour vous assurer que vos membres, dont la très grande majorité est francophone, reçoivent un service en français?