Je vous remercie beaucoup, monsieur le président.
Je vous remercie, madame Aung‑Thin et madame Bombardier, d'être avec nous ce soir malgré l'heure tardive.
M. Barrière, de l'Alliance de la fonction publique du Canada, disait plus tôt qu'il y avait des problèmes relativement au bilinguisme et au respect du français, mais que cela variait d'une direction générale ou d'un ministère à l'autre. Il voulait séparer le bon grain de l'ivraie.
J'espère, mesdames, que votre ministère fait partie des bons élèves, et non des cancres. Nous lirons attentivement le rapport du commissaire aux langues officielles sur les résultats de son évaluation des différents ministères.
Je reviens sur la question de l'étiquetage. Vous deviez vous attendre à beaucoup de questions à ce propos aujourd'hui, puisque cela a fait les manchettes.
Comme le disait l'un des témoins, nous sommes tous pour le respect de la Loi sur les langues officielles, sauf quand il arrive un pépin technique, une crise ou une situation d'urgence. Pendant la crise liée à la pandémie, vous avez dû composer avec des besoins astronomiques quant à certains produits. Vous avez parlé de produits désinfectants et d'équipement de protection individuel, je crois.
Que prévoyez-vous faire pour éviter de mettre de côté le français chaque fois qu'il y a une situation urgence?