Merci, monsieur le président.
J'allais parler de la motion principale, mais je vais parler de l'amendement. Ensuite, je lèverai la main de nouveau pour parler de la motion principale.
Je voudrais prendre un instant pour remercier M. Thérialut de son intervention très réfléchie. M. Davies a également abordé la question du respect à l'égard des personnes qui attendent déjà et dont, si je me souviens bien, la comparution prévue lundi a été reportée au moins une fois, voire deux fois. Il a également parlé de l'importance que revêtent les témoins et du respect que nous devons leur témoigner pour nous assurer qu'ils comparaîtront lundi et qu'ils auront la chance d'apporter leur témoignage.
De même, en ce qui concerne l'amendement, il n'est que juste que nous accordions le même degré de respect aux personnes que nous convoquerions lundi après-midi, pendant une heure, après la réunion de lundi.
Ces fonctionnaires sont très occupés. Je peux vous dire que j'ai rarement des créneaux dans mon calendrier pour le jour ouvrable suivant, alors ils devront réorganiser leur horaire. Il est possible qu'ils puissent le faire.
Nous pouvons peut-être leur fournir les écouteurs requis. Nous pouvons peut-être réaliser les vérifications sonores. Il se peut que cela puisse être fait lundi, mais en ce qui concerne l'amendement, si nous faisons preuve du même respect envers les témoins que nous entendrons lundi pendant les deux heures prévues, ou pendant la première partie de la séance, nous devrions témoigner le même respect aux personnes que nous inviterions pendant cette période d'une heure. J'attends un signe de tête de la part de M. Thériault. Je suppose que cela aura lieu avant la période des questions de lundi.
Il ne s'agit pas de s'écarter de l'amendement pour parler de la motion elle-même — j'interviendrai de nouveau à ce sujet, mais c'est ce qui me préoccupe à propos de l'amendement de lundi.
M. Davies a dit — et je ne veux pas lui prêter des paroles qu'il n'a pas prononcées — qu'il ne s'agissait peut-être pas d'une urgence, mais que la question est urgente. Je vois clair à cet égard. J'ai regardé suffisamment les bulletins de nouvelles pour comprendre la différence entre les commentaires du Comité consultatif national de l'immunisation ou CCNI, et ceux de Santé Canada, mais il importe non seulement que nous, les membres du Comité, obtenions ces éclaircissements, mais aussi que nous les obtenions au nom des Canadiens afin que, comme cela a déjà été mentionné, nous fassions en sorte de ne pas aggraver les inquiétudes des Canadiens, en présentant une motion d'urgence. Il est important que les Canadiens sachent que ces vaccins sont sans danger.
En ce qui concerne l'amendement, j'écouterai le débat, et je tiens à remercier M. Thériault de ces observations très réfléchies sur la nécessité de faire preuve d'un grand degré de respect envers les témoins.
M. Davies a dit qu'il voulait s'assurer de pouvoir interroger le président de Pfizer Canada, ce qui est important. J'aime toujours entendre les questions de M. Davies, et les témoignages qui en découlent. Je veux donc m'assurer que nous aurons cette possibilité lundi, compte tenu des commentaires du greffier selon lesquels il n'y a pas de créneaux libres les mardis, mercredis et jeudis, étant donné que tous les comités siègent ces jours-là.
Je vais certainement écouter les observations que les membres formuleront au sujet de l'amendement de M. Thériault.
Merci, mesdames et messieurs.