Je vous remercie, monsieur le président.
Monsieur Mocquais, monsieur Prud'homme, je vous remercie d'être des nôtres aujourd'hui.
Monsieur Prud'homme, ce que vous nous avez dit est très intéressant. En même temps, j'ai trouvé cela très inquiétant. Vous parlez de 10 ans de noirceur, de coupes, de fragilité financière et de pression pour augmenter les frais de scolarité. Vous avez même conclu l'avant-dernier tour de questions en disant que ce n'était qu'une question de temps avant que ce qui est arrivé à l'Université Laurentienne arrive à l'Université de Moncton. Je pense que ce serait absolument catastrophique pour la région. Je vois M. Arseneault qui opine du bonnet.
À part la possibilité d'aller chercher davantage d'étudiants québécois, canadiens ou étrangers, est-ce qu'il y a quelque chose que le gouvernement fédéral pourrait faire, en utilisant le PLOE, par exemple, pour éviter cela?
Peut-être que ce programme ne serait même pas suffisant.