Monsieur le Président, comme cela a été dit clairement devant le comité, ce sont des fonctionnaires qui, au-delà de toute partisanerie, ont recommandé cette approche parce qu'ils considéraient que c'était la seule façon de mettre en œuvre ce programme dans le délai requis, cet été, au cours de la pandémie de COVID-19. La semaine dernière, j'ai reconnu que j'aurais dû me retirer des discussions à ce sujet et j'ai présenté mes excuses.
Par ailleurs, nous voulions donner aux étudiants du pays l'occasion de servir leur collectivité en cette période sans précédent, et c'est encore notre but. Bien entendu, il est regrettable que les choses se soient passées ainsi et que la mise en œuvre du programme n'ait pas lieu maintenant, comme nous l'aurions souhaité.
Pour ce qui est de la fondation UNIS, les fonctionnaires se sont efforcés de trouver le meilleur moyen de mettre en œuvre le programme permettant de donner des bourses aux étudiants pour leurs heures de bénévolat. Les fonctionnaires ont collaboré avec l'organisme UNIS pour rédiger une entente. Les détails ont été négociés à l'échelon des fonctionnaires.
Nous avons constamment abordé cette question dans l'optique d'outiller les jeunes du pays, et d'autres gouvernements de diverses allégeances ont collaboré, eux aussi, avec cet organisme dans le passé.