//www.ourcommons.ca/Parliamentarians/fr/members/89407JoëlGodinJoël-GodinPortneuf—Jacques-CartierCaucus ConservateurQuébec//www.ourcommons.ca/Content/Parliamentarians/Images/OfficialMPPhotos/44/GodinJoël_CPC.jpgInitiatives ministériellesLe conflit sur le bois d'oeuvre avec les États-UnisInterventionM. Joël Godin: (2230)[Français]Madame la présidente, je vous remercie de me le rappeler. C’est très important. J'informe donc la Chambre que je partagerai mon temps de parole avec mon collègue de Prince George—Peace River—Northern Rockies qui est un extraordinaire député de la Colombie-Britannique.Pour continuer, je dirais que ce dont nous débattons, ce soir, c’est un secteur important de l’économie canadienne. Il l’est, entre autres, en Colombie-Britannique, au Québec et dans d’autres provinces au Canada. Le Québec n’est pas encore un pays. Au Parti conservateur, on ne travaille pas dans ce sens-là, mais on va le protéger.J’ai parlé de l’Hôtel de glace. Il se trouve dans la région périphérique de Québec. Je participe au débat ce soir parce que je représente un secteur de ma circonscription qui est plus rural et où il y a des moulins à scie et des scieries. Par contre, si on regarde la liste de tous les libéraux qui ont pris la parole ce soir, on voit qu’ils représentent des tours à bureaux et des stationnements plutôt que des régions rurales où il y a des scieries et des moulins à scie. Je pense qu’il faut prendre cela au sérieux. Je trouve que le gouvernement en place depuis les six dernières années banalise l’économie comme si ce n’était pas important et pellette le problème en avant. On n’amène pas de solution. C’est malheureux. On est au début d’une relance économique. Je pense que ce qui est important, lorsqu’on est au début d’une relance économique, c’est d’être en avant de la parade. Il faut avoir les outils pour attaquer, il faut avoir la main‑d’œuvre. Si on regarde l’actualité, on voit que la pénurie de main‑d’œuvre est très présente.Puisqu'il me reste peu de temps, je dirais tout simplement qu’on peut chialer sur le fait de voir ce que les libéraux font. Toutefois, au lieu de chialer, je vais amener une solution. Je pense que c’est important de travailler pour dénouer ce problème. Je pense que si on met nos culottes, ici au Canada, et qu’on dit aux gens des États-Unis que nous ne leur enverrons plus de bois d’œuvre, que c’est terminé pour les six prochains mois, ce sont les citoyens américains qui vont demander aux gouverneurs de leurs États de faire le nécessaire pour accélérer le processus.Notre premier ministre n’est pas capable de mettre de la pression. Il n’a pas de levier pour forcer le gouvernement américain. Le marché américain est très important. Je pense qu’il faut soutenir cette industrie en interrompant l’exportation aux États-Unis et en la subventionnant pour que les entreprises puissent absorber la perte de revenus. Dans six mois, tout va revenir. Je pense qu’il faut développer cela. C’est une piste de solution. Je pense qu’il faut construire et trouver des solutions pour que nous puissions relancer notre économie et faire partie de la relance.Accords commerciauxAffaires émanant du gouvernement no 2Aide gouvernementaleDébats exploratoiresÉtude en comité plénierExportationsIndustrie du bois d'oeuvrePartage du temps de paroleRelations Canada-États-Unis68671186867119686712068671216867122686712368671246867125AlexandraMendèsBrossard—Saint-LambertMarcusPowlowskiThunder Bay—Rainy RiverINTERVENTIONLégislature et SessionOrdre des travauxSujet discutéTerme ProcéduralInterlocuteurRechercheRésultat par pageOrdreTarget search languageSide by SideMaximum returned rowsPageTYPE DE PUBLICATION