Est‑ce qu'il y a d'autres commentaires ou questions? Il n'y en a pas. C'est très bien.
Cela me touche directement. Sans prendre parti pour un côté ou l'autre, je veux simplement souligner qu'il n'y a pas eu d'augmentation pendant 20 ans. Le vrai problème, c'est que le montant n'a pas augmenté et qu'il ne reflète pas vraiment les réalités de l'inflation, en particulier les coûts et les augmentations post-COVID. Je pense que tout le monde devrait y réfléchir.
Bien entendu, il y a deux aspects à prendre en compte: les déplacements, sur lesquels les gens se concentrent, mais aussi l'accueil des visiteurs, qui représente une part importante des coûts.
J'ai une question pour le Bureau de régie interne. Quel degré de diplomatie souhaitez-vous? Lorsque des personnes demandent à venir visiter le Président de la Chambre et que je refuse, est‑ce que je dois dire que le BRI n'est plus intéressé? C'est une simple question que je vous pose. C'est une chose à laquelle il faut réfléchir. Quelle que soit la décision du BRI, je suis prêt à l'accepter. C'est ce qui est en jeu en ce moment.
Le Programme d'études des agents parlementaires est également inclus. Il permet à des députés de partir à l'étranger et de revenir. C'est très important. C'est un élément à tenir en compte dans l'examen des coûts de fonctionnement d'un gouvernement.
Ce sont les seuls commentaires que je ferai à ce sujet. Je ne pense pas qu'il y ait grand-chose d'autre à dire, si ce n'est que les coffres étaient vides aux trois quarts de l'année. Je pense qu'il ne reste pas plus de 3 000 $. Nous allons partir de là.
La parole est à Mme Sahota. Je la laisse poursuivre.