Monsieur le Président, alors que les conservateurs pleins de bon sens aboliraient la taxe, construiraient des logements, redresseraient le budget et feraient échec au crime, après huit ans, le premier ministre néo-démocrate—libéral n'en vaut ni le coût, ni la criminalité, ni la corruption.
Le 1er avril, et ce n'est pas un poisson d'avril, nous pouvons nous préparer à une autre augmentation de 23 % de la taxe sur le carbone du gouvernement néo-démocrate—libéral, qui volera l'argent des travailleurs canadiens, fera grimper le prix des aliments et ne réduira pas les émissions.
Des gens comme Ann, Neil et Scott m'ont téléphoné parce qu'ils sont désespérés. Ils m'ont parlé de la montée en flèche de leurs factures d'énergie. La taxe sur le carbone coûte à certaines personnes presque deux fois plus cher que l'énergie qu'elles consomment, mais cela ne semble pas importer aux néo-démocrates—libéraux. S'il n'en tenait qu'au radical ministre de l’Environnement, toutes les familles albertaines seraient obligées de geler dans leur maison ou de marcher pour se rendre au travail à -40 degrés Celsius sur des routes et des ponts inexistants.
Les conservateurs, guidés par le gros bon sens, aboliraient la taxe pour tout le monde, partout, afin que les Canadiens aient les moyens de chauffer leur maison, de conduire leurs enfants à l'école, de se rendre au travail et de faire le nécessaire pour que le gouvernement ne se mêle plus de leur vie.