Monsieur le Président, je dois m'excuser de regarder parfois de l'autre côté de la Chambre. Je suis un ancien enseignant, et c'est ce que je devais faire pour m'assurer que j'avais l'attention de tous les élèves. Je devais voir leurs yeux pour savoir qu'ils m'écoutaient quand je parlais. Je m'en excuse, mais cela fait partie de qui je suis, et j'en suis fier.
Je remercie mon collègue de son observation. J'ai promis de baisser le ton et j'y travaille, mais ce n'est pas une tâche facile. On ne peut pas briser si facilement les vieilles habitudes.
Le député a parlé du prix des médicaments sur ordonnance, un sujet extrêmement important. Je tiens à lui parler, ainsi qu'à la Chambre, des mesures prises par le gouvernement au cours de son dernier mandat. Nous avons créé l'Agence canadienne des médicaments, qui nous permet d'acheter des médicaments en grandes quantités. Cela nous permet d'économiser 3 milliards de dollars par année, ce qui est non négligeable.
Le député a mentionné à quel point c'est important pour les aînés. Durant les quelques semaines qui ont suivi les élections, j'ai pu passer plus de temps dans ma circonscription, où j'ai eu de très bonnes conversations avec des aînés. Je continuerai de le faire, à l'avenir.