Pas de souci.
Une mise en contexte est importante pour comprendre la discussion, qui traite d'économie, mais il y a selon moi des questions d'ordre général qui devraient nous éclairer.
Je pense que vous aideriez le Comité à avoir une vue d'ensemble pour établir le contexte si vous pouviez fournir les données suivantes: le taux de chômage en 2015 et le taux actuel; le ratio de la dette au PIB en 2015 et aujourd'hui; le rang qu'occupe le Canada au sein du G7 pour cet indicateur; le nombre de personnes qui sont sorties de la pauvreté depuis 2015.
Il y a une autre question importante. Elle a été évoquée, mais nous ne l'avons pas abordée de manière très directe.
M. Poilievre a lancé la discussion et M. Cooper a suivi. Si certains autour de la table remettent en question la pertinence d'investir lorsque les gouvernements décident d'investir dans les entreprises, c'est plutôt curieux, car en 2008, le gouvernement conservateur alors au pouvoir a investi 350 millions de dollars dans Bombardier. Je vais toutefois en rester là; mes collègues voudront peut-être s'expliquer plus tard.
La question que je me pose n'est pas de savoir pourquoi les gouvernements investissent. La décision d'investir leur revient. Que se passerait-il si les gouvernements n'investissaient pas? C'est une question fondamentale.
Madame Johnson, vous venez de citer les chiffres du FSI. Vous avez dit que 60 000 emplois ont été créés ou maintenus, ou du moins c'est ce qui est prévu. Est-ce exact?
That's fine.
It's important to have a context for understanding the discussion, which is economically focused, but there are some big picture issues that I think ought to inform the discussion.
If you could provide data that lets us know what unemployment was at 2015 and where it is now, along with the debt-to-GDP ratio and where that ranks, where Canada ranks in the wider G7 on that measure, and the number of people who have been lifted out of poverty since 2015, I think that would help the committee from a big picture perspective in terms of establishing context.
There is another important question to be asked here. It has been hinted at, but we haven't delved into it in a very direct way.
Mr. Poilievre opened up questioning, and Mr. Cooper followed. If some around the table question the philosophy behind investing when governments take the decision to invest in business, that is actually curious, because in 2008 the then Conservative government invested $350 million in Bombardier. However, I leave that aside and maybe my colleagues would care to offer an explanation at a later time.
The question in my mind is not why governments invest. They certainly do make the decision to invest. What would happen if governments did not invest? That's a crucial question.
Ms. Johnson, you just cited figures under SIF. You said that 60,000 jobs have been created or maintained, or at least that's the projection. Is that correct?