Monsieur le Président, je remercie ma collègue de Kelowna—Lake Country de cette intervention. J'ai eu l'occasion de visiter sa région au début des années 1990, dans le cadre des nouveaux programmes environnementaux alors utilisés dans l'industrie fruitière. Il s'agit d'une industrie phénoménale et d'un coin phénoménal du Canada.
Comme je l'ai dit, le gouvernement doit soutenir ces autres secteurs, que ce soit par l'entremise d'Agri-relance ou d'Agri-investissement. Cependant, Agri-stabilité est la solution la moins avantageuse pour l'industrie du bétail, c'est certain.
Une pandémie comme celle-ci n'est pas une catastrophe naturelle dont on s'attendrait à ce qu'elle ait une incidence sur le rendement des récoltes et la survie des vergers. Par conséquent, on a vraiment besoin d'un programme d'aide immédiate fait sur mesure, voire d'une subvention par tête de bétail par jour. J'ignore si c'est ce qu'envisagent les libéraux dans le cadre du programme Agri-relance en ce moment, mais cela aiderait ce secteur.
Il faut penser à tous les secteurs d'approvisionnement. Le pouvoir d'achat des Canadiens a chuté, entre autres parce que tout le monde doit rester chez soi, ce qui a des répercussions sur l'industrie en Colombie-Britannique et dans toutes les régions vinicoles du Canada.