Je vous remercie.
J'apprécie le travail que vous avez réalisé précédemment dans les deux dossiers des nouvelles technologies et des épiceries.
Oui, j'ai déjà proposé cette étude. J'ignore si tous les membres l'ont vu. La proposition était bien formulée et elle a également été publiée dans les médias. Quoi qu'il en soit, je suis disposé à procéder de manière productive, et je n'aime pas le fait que...
Vous savez, nous avons du temps à notre disposition. Nous disposons d'une semaine avant la reprise des travaux parlementaires et je voudrais en faire quelque chose. C'est ce qui m'est proposé sous la forme d'une autre activité. Le Comité n'a pas adopté ma motion. Fort bien. Il se passe bien des choses. Je comprends que ce sujet n'a pas été considéré comme une priorité. Cette initiative vient de m'être proposée. Je préférerais que nous nous réunissions la semaine prochaine. S'il faut tenir six réunions, alors le temps... En fait, nous pouvons avoir une autre séance de planification ou organiser d'autres études, puis entendre des témoins. Nous avons des plages horaires libres.
Je sais que vous avez déjà proposé de convoquer M. Scott et d'autres témoins devant le Comité, mais nous ne disposons pas encore d'un plan établi. Je pense que si nous faisons quelque chose ou même si nous suivons cette idée — il pourrait s'agir d'une initiative à valeur ajoutée qui, comme M. Fillmore le propose, pourrait se faire plus tard —, nous n'aurons pas gaspillé notre temps ou notre énergie. Certains témoins pourraient avoir un lien avec les deux dossiers. À de nombreux égards, je pense que c'est mieux que de ne pas se réunir. Selon moi, le sujet en lui-même mérite qu'on s'y attarde.
En conclusion, c'est une meilleure position pour le Comité et pour le travail, qui pourrait se prolonger ultérieurement dans une étude. Je suis ouvert à l'idée. Je ne ferme la porte à rien de tout cela, mais je voudrais certainement me mettre au travail. C'est une question qui attire l'attention, pas seulement au Canada, mais aussi aux États-Unis et dans le reste du monde en ce qui concerne l'utilisation du lithium et des ressources connexes. De plus, le secteur de l'automobile, dont je suis issu, est également concerné.
Enfin, nous recueillerons de précieux témoignages et entendrons de commentaires pertinents qui pourraient intéresser le public. Cela pourrait susciter d'autres conversations. Les discussions pourraient permettre de démêler d'autres choses qui sont nécessaires. Je pense que c'est bien plus productif que d'attendre encore une semaine que le Parlement reprenne ses travaux pour tenter d'établir notre plan de travail.
Nous avons devant nous une idée, un plan que j'appuie.