Monsieur le président, notre collègue M. Kennedy a tout à fait raison, ce n'est pas une question de partisanerie. Il y a beaucoup de sagesse dans ce qu'il apporte, je le soumettrai. Ensuite, je ne dirai plus un mot, je vous le promets. Notre collègue Mme Leslie a fait une suggestion qui me semble plus appropriée. L'âge et l'incapacité ne sont pas des facteurs qui défavorisent quelqu'un, ce sont des facteurs qui créent des défis nouveaux. Alors, défavoriser quelqu'un par rapport à l'âge est péjoratif, monsieur le président, c'est de l'âgisme.
Mes défis, par exemple par rapport à la force physique, ne sont pas les mêmes que ceux de M. Savage, parce qu'il est plus costaud. Je ne suis pas défavorisé, ce sont des défis. C'est la même chose pour une personne âgée. Dans le cas d'un édifice public dont la porte est lourde, il faut aménager cet édifice pour rendre l'ouverture de sa porte compatible à la force physique des gens qui l'utilisent, parce que c'est un défi pour eux.
C'est tout, monsieur le président. Je soumets respectueusement qu'il y a beaucoup de sagesse dans la suggestion de notre collègue M. Kennedy. Il serait plus approprié de parler de défis dûs à l'âge, à la condition physique, etc.