Eh bien, je dois avouer que ces oiseaux migrateurs sont beaucoup plus intelligents que les députés.
Monsieur le président, je crois que vous constateriez peut-être qu’il y a consentement pour tenir nos séances au Mexique, du moins en février et en mars. Nous devons mener une étude.
Une voix: Nous pourrions avoir recours à la vidéoconférence.
L'hon. John McKay: J’aimerais rester dans la même veine que MM. Sopuck et Toet. Nous avons des milieux humides qui procurent des avantages écologiques et contribuent à stocker du carbone, mais il y a aussi l’écoulement en général, en particulier des nutriments, comme M. Toet l’a souligné — toutes ces choses. Nous avons des collectivités rurales qui procurent des avantages considérables aux collectivités urbaines, périurbaines et possiblement rurales pour lesquels personne n’est payé. Cela se poursuivra dans un avenir prévisible.
En l’absence d’un régime d’établissement du prix du carbone, comment proposez-vous que les gouvernements provinciaux ou fédéral dédommagent les collectivités ou les propriétaires fonciers — en présumant qu’il y a une volonté de leur part — pour les avantages considérables qu’ils procurent, mis à part la bonne volonté des entreprises, pour le dire ainsi? Tout le monde pose des gestes pour diverses raisons, ce qui peut inclure le blanchiment vert. Outre un régime d’établissement du prix du carbone, comment pouvons-nous mettre un prix sur cet avantage?
Well I have to say that those migratory birds are a lot smarter than MPs.
I think if you sought it, Chair, we might have unanimous consent to decamp the committee to Mexico, for February and March at least. We need to do a study.
An hon. member: We could do a video conference.
Hon. John McKay: Following up on Mr. Sopuck's and Mr. Toet's conversations, we have wetlands giving ecological benefits and carbon sequestration, nutrient runoff, as Mr. Toet pointed out, runoff generally—all that sort of stuff. We have the rural communities providing urban and near urban communities, and possibly other rural communities, with a significant benefit for which nobody is getting paid. That's going to carry on for the foreseeable future.
Absent a carbon pricing regime, be it at the federal level or provincial level, how do you propose that those communities or individual landowners—assuming there was a will—be paid for their significant benefit, other than if you will through the goodwill of corporations? Everybody does everything for a variety of motivations, maybe even greenwash and things of that nature. Outside of a carbon pricing regime, how do you price that benefit?