Effectivement, il y a eu de nombreuses études.
La semaine dernière, j'étais en Nouvelle‑Écosse, où j'ai rencontré des fermiers, notamment. Les coûts de la tempête Fiona, qui a détruit les champs pour les fermes bovines et les fermes laitières, soit les champs qui servaient à produire de la nourriture, représentent des centaines de milliers de dollars par ferme. Cela, c'est l'impact d'une seule catastrophe, sans compter les inondations qui ont inondé les champs. La Nouvelle‑Écosse a connu les pires inondations de son histoire en plus de connaître les pires feux de forêt.
Il y a de nombreux effets aux changements climatiques, et c'est très diversifié d'un bout à l'autre du pays. À certains endroits, il y a trop d'eau; à d'autres endroits, il n'y a pas assez d'eau, comme dans les Prairies, où on vit une sécheresse qui perdure. Le couvert de neige a été très faible cette année, surtout dans les Prairies. Dans l'Est, cela a été un peu mieux. En Colombie‑Britannique, c'est très problématique. L'ensemble de l'industrie des vignobles a été gravement affectée par les changements climatiques encore cette année. On voit les effets de plus en plus graves des changements climatiques dans le secteur agricole année après année.
Hélas, la réponse du Parti conservateur est de créer davantage de pollution et de la rendre gratuite, d'avoir davantage de changements climatiques et d'impact des changements climatiques, en plus d'abolir les programmes d'aide au secteur agricole. Je trouve que cette réponse manque un peu de jugement.