La séance est ouverte.
Je vous souhaite la bienvenue à la 48e réunion du Comité permanent des affaires autochtones et du Nord.
Nous reconnaissons le fait que nous sommes réunis sur le territoire non cédé du peuple algonquin anishinabe.
Notre réunion se déroule aujourd'hui sous forme hybride.
J'ai quelques consignes à donner à ceux qui se joignent à nous de façon virtuelle. Vous pouvez vous exprimer dans la langue officielle de votre choix. Des services d'interprétation sont disponibles en français, en anglais et en inuktitut pendant la première heure, et en cri des plaines pendant la deuxième heure.
En vous servant de l'icône du globe situé au bas de votre écran, vous pouvez choisir entre « Parquet », « Français » et « Anglais ». Veuillez choisir votre langue maintenant, et si l'interprétation vient à manquer, faites‑le-nous savoir et nous essaierons de la rétablir.
Avant de parler, veuillez attendre que je vous désigne par votre nom. Si vous êtes en vidéoconférence, cliquez sur l'icône du microphone pour activer ce dernier. Pour les personnes qui sont sur place, votre microphone sera contrôlé comme d'habitude par l'agent des délibérations et de la vérification.
Veuillez s'il vous plaît adresser vos interventions à la présidence.
Lorsque vous prenez la parole, veuillez parler lentement et clairement. Lorsque vous ne parlez pas, assurez-vous de mettre votre microphone en sourdine. La greffière du Comité et moi ferons de notre mieux pour maintenir un ordre de parole consolidé pour tous les membres, bien que nous ayons déjà préétabli cela pour la séance d'aujourd'hui.
Avant de commencer, j'aimerais régler une question d'arrière-boutique. Conformément à la motion adoptée le 21 novembre 2022, notre prochaine étude devrait porter sur l'amélioration des taux d'obtention de diplôme et de réussite des étudiants autochtones. C'est ce que nous appelons aussi l'étude sur l'éducation. Vous êtes priés de remettre vos listes de témoins — organisées par priorité et par parti — à la greffière d'ici le 8 février.
Sur ce, conformément au paragraphe 108(2) du Règlement et à la motion adoptée par le Comité le 21 novembre, le Comité reprend son étude sur les langues autochtones. C'est notre troisième réunion à ce sujet.
Aujourd'hui, pour notre premier groupe d'experts, j'aimerais accueillir R.J. Simpson, qui est leader parlementaire du gouvernement, ministre de l'Éducation, de la Culture et de l'Emploi, et ministre de la Justice du gouvernement des Territoires du Nord-Ouest. M. Simpson comparaîtra virtuellement.
Nous accueillons également, par vidéoconférence, Mme Megan Lukaniec, linguiste, du Conseil de la Nation huronne‑wendat.
Notre autre témoin pour cette première heure est Mme Ida Bear, de l'Université du Manitoba, qui nous parvient elle aussi par vidéoconférence.
Les témoins disposent de cinq minutes chacun pour livrer leur déclaration liminaire. Une fois les exposés terminés, il y aura une première série de questions. Je demanderais aux témoins de limiter leur exposé à cinq minutes afin de laisser le plus de temps possible aux questions.
Cela ayant été dit, si vous êtes prêt à prendre la parole, monsieur le ministre, vous avez cinq minutes.