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2021-06-23 14:16 [p.9048]
Monsieur le Président, il y a 36 ans, le 23 juin 1985, une bombe a explosé en plein ciel sur le vol 182 d'Air India, qui faisait la liaison entre Toronto et New Delhi, tuant les 329 personnes à bord. La majorité des victimes étaient des Canadiens, parmi lesquels 82 enfants de moins de 13 ans. Deux de ces victimes, Kulbir Kaur Minhas et Balwinder Kaur Minhas, étaient des membres de ma famille.
Cette attaque à la bombe est le pire acte terroriste de toute l'histoire du Canada. L'enquête judiciaire qui a suivi a conclu que cette explosion était une véritable tragédie et la pire tuerie jamais survenue au Canada. Afin de marquer cette tragédie, le 23 juin a été déclaré la Journée nationale du souvenir des victimes de terrorisme.
Malheureusement, la liste des victimes augmente chaque année. Les terroristes continuent de cibler des gens innocents pour promouvoir leur cause. Les récentes attaques survenues à London ont été un horrible rappel que le Canada doit continuer de combattre le terrorisme sous toutes ses formes.
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2021-06-22 16:40 [p.8994]
Madame la Présidente, c’est pour moi un plaisir de parler du projet de loi C‑30, la loi d’exécution du budget.
Je me rends compte que c’est probablement la dernière fois que je prends la parole avant la tenue des élections. Avant d’en venir au budget, je voudrais dire que c’est pour moi un honneur de représenter les gens de Markham—Unionville au Parlement. Lorsque je suis arrivé au pays, il y a plus de 45 ans, je parlais à peine anglais et je n’aurais jamais imaginé représenter ma collectivité au conseil municipal, et encore moins au Parlement. Je veux remercier ma collectivité pour le soutien sans faille qu’elle m’a témoigné.
Les gens parleront encore pendant des générations de la COVID‑19. Un virus a paralysé le monde entier et tué des millions de personnes. Aucun gouvernement n’était vraiment préparé, et les politiciens ont dû prendre des mesures importantes rapidement au lieu d’attendre des années pour s’attaquer au problème. Dans certains pays, les politiciens ont saisi l’occasion pour travailler ensemble afin d’aider leur pays à surmonter la pandémie. Dans d’autres pays, les gouvernements ont tenu les gens dans l'ignorance, nié l’existence du problème et transformé chaque décision en spectacle politique. De toute évidence, le Canada se trouvait dans la deuxième catégorie.
Dans ce budget, le gouvernement libéral prévoit de continuer à mettre de l'avant bon nombre de ses très mauvaises idées. Au lieu de se concentrer sur ce dont les Canadiens ont besoin pour se remettre sur pied, les libéraux cherchent des façons de dépenser en fonction de leurs priorités. Naturellement, ces priorités comprennent toujours des mesures payantes pour les proches des libéraux. À ce jour, le travail de consultant et de lobbyiste n’a jamais été meilleur pour ceux qui ont des liens avec le premier ministre. Les priorités des libéraux ajoutent des milliards de dollars à la dette, des milliards que nous n’avons pas les moyens de dépenser.
Nous savons que, lorsque les députés libéraux défendent les folles dépenses du premier ministre, ils aiment utiliser des termes techniques difficiles à comprendre. Je vais donc essayer de faire le contraire et de présenter mes arguments de sorte qu’ils soient faciles à suivre.
Lorsque je suis arrivé au pays, je comptais chaque cent. J’étais un adolescent indien qui ne parlait presque pas anglais, et il n’était pas facile de trouver un emploi. Chaque dollar que je dépensais comptait. J’ai pris beaucoup de décisions difficiles, à cette époque-là, sur ce dont je pouvais me passer. Il y a eu beaucoup de repas de sandwichs au fromage.
Lorsque j’ai commencé à fonder ma famille, j’ai dû prendre encore des décisions difficiles. Nous ne pouvions pas dépenser plus que ce que nous gagnions. Je me rappelle avoir décidé de nombreuses fois, avec ma femme Roopa, d’économiser pour les études de nos enfants ou en prévision des périodes difficiles au lieu de prendre des vacances. Pour nous, l’éducation était ce qu’il y avait de plus important, et cela comprenait l’obligation d’enseigner à nos enfants à faire un budget.
J'estime que les décisions difficiles que j'ai prises à table avec Roopa, dans notre cuisine, ont été payantes. Mon aîné, Rohin, est aujourd'hui médecin, et je ne pourrais pas être plus fier de sa réussite. Les économies que j'ai faites alors qu'il était encore bébé l'ont aidé à payer ses études de médecine. L'histoire de sa femme, Preoli, qui est dentiste, est très semblable.
Mon autre fils, Tarun, a fait des études universitaires et travaille aujourd'hui au sein du gouvernement provincial. Il a aussi mis à profit sa scolarité dans le milieu des affaires. Ma fille, Shalin, vient d'être acceptée en droit. Tout cela nous confirme, à ma femme et moi, que nous avons fait le bon choix en économisant. Nous nous sommes privés de bien des choses, mais nous avions l'argent nécessaire pour payer les droits de scolarité de nos enfants.
Je sais que les libéraux détestent entendre les conservateurs comparer l'équilibre budgétaire à la gestion du budget familial. Pour les libéraux, c'est beaucoup plus compliqué que cela. Bien que le budget fédéral soit certes plus compliqué, la base demeure essentiellement la même.
Quand on emprunte, quelqu'un est responsable de cette dette. Certains députés seront peut-être surpris de l'apprendre. Chaque fois qu'il y a un vote à la Chambre sur des dépenses de fonds publics, je me demande qui va payer la note. Il y a des années de cela, quand il était question du budget, on entendait souvent dire que le gouvernement devrait dépenser allégrement en période de stagnation afin de stimuler l'économie, puis payer ses dettes en période de prospérité. Ainsi, advenant une autre crise, il aurait les fonds nécessaires pour stimuler à nouveau l'économie.
Le gouvernement libéral a délaissé cette vision des choses. Il veut faire croire aux Canadiens qu'aucun gouvernement n'a à rembourser quoi que ce soit, qu'il suffit d'une planification soignée pour que le gouvernement puisse indéfiniment jongler avec la dette et ainsi tirer tous les avantages de dépenses débridées sans jamais en subir les conséquences. Ce plan est atroce.
La pandémie de COVID‑19 a montré que les gouvernements doivent avoir la marge de manœuvre nécessaire pour faire des dépenses. Sans aide gouvernementale, nombre de Canadiens auraient déclaré faillite en raison de la COVID‑19. Je sais que, malgré cette aide, beaucoup de petites entreprises ont dû fermer leurs portes.
Avec la pandémie, la dette a atteint de nouveaux sommets. Quand nous votons sur les dépenses au Parlement, nous devons penser à nous préparer en vue de la prochaine crise. Il ne faut donc pas dépenser plus que nous en avons les moyens maintenant.
Voici ce qu'a déclaré la ministre des Finances:
Le Canada est un pays jeune et vaste, qui possède une formidable capacité de croissance. Ce budget stimulera cette capacité. Ce sont des investissements dans notre avenir et ils rapporteront beaucoup. Dans le contexte actuel où les taux d’intérêt sont faibles, non seulement nous pouvons nous permettre ces investissements [...], mais il serait peu judicieux de notre part de ne pas faire ces investissements.
Il serait « peu judicieux de notre part de ne pas faire ces investissements »; voilà une affirmation intéressante. Je me demande si la ministre des Finances peut citer un cas où il était peu judicieux de dépenser plus que ce que nous avions. Le gouvernement libéral semble croire qu’il est toujours nécessaire de dépenser davantage. On n'a qu'à penser à la promesse que le premier ministre a faite en 2015, soit que le budget serait équilibré avant longtemps et qu'après de petits déficits, tout irait bien. Les promesses de dépenses responsables n’ont été que des paroles creuses.
Je vais revenir à qui paie la note. La plupart des Canadiens ne se rendent probablement pas compte de ce que ces emprunts coûtent au Canada. Même avec de faibles taux d’intérêt, c’est bien au-delà de 20 milliards de dollars. En alourdissant notre dette nationale plus que tous ses prédécesseurs réunis, le premier ministre fera grimper les paiements d’intérêts à de nouveaux sommets.
Le premier ministre a dit à tout le monde que les budgets s’équilibrent d’eux-mêmes. S’il le pense encore, je tiens à lui assurer que ce n’est pas le cas. Lorsque nous ne faisons rien pour nous attaquer à la dette et aux dépenses, les choses empirent. On dit aux gens d’éviter ce genre de piège de l’endettement dans leur vie personnelle. Les libéraux croient que c’est responsable de gonfler l’endettement d'un niveau déjà historiquement élevé. Leur plan exige que les Canadiens pensent que la dette est un problème éloigné dans l’avenir et qu’ils seront d’accord pour transmettre la dette à la prochaine génération. Pour moi, c’est inacceptable.
Je suis venu dans ce pays en quête d’une vie meilleure. Je savais qu’ici, les gens pouvaient élever leur famille et assurer la réussite de leurs enfants. La dernière chose que je voudrais faire serait de leur passer la bombe de la dette dont ils devraient s’occuper, eux et leurs enfants.
Quand je parle aux résidants de Markham, on me dit la même chose. Les gens travaillent très fort pour que leurs enfants aient une vie meilleure qu’eux. Ils ne veulent pas leur préparer un avenir difficile.
Une crise de l’endettement finit toujours par des temps difficiles accompagnés d’une augmentation de l’impôt ou d'une réduction des services, ou des deux. Les nouvelles taxes dans le budget sont minuscules par rapport aux dépenses. Les libéraux devraient en doubler certaines chaque année pour pouvoir réunir les fonds nécessaires à la réduction de la dette.
Les hausses d’impôt des libéraux font en sorte qu’il est encore moins abordable de faire vivre une famille. Les Canadiens ne peuvent pas se permettre de payer plus. Certaines personnes pensent que l’inflation est une solution, mais c’est une erreur. L’inflation est une taxe sur tout, et il sera alors encore plus difficile d’emprunter de l’argent.
On a déjà mis en œuvre l’autre option, la réduction des services. Dans les années 90, le gouvernement libéral est allé à la banque pour emprunter de l’argent au milieu d’une crise de l’endettement, mais personne ne voulait lui en prêter. Pour mettre de l’ordre dans leurs affaires, les libéraux ont sabré massivement les dépenses du gouvernement, notamment dans les soins de santé. Nous en ressentons encore les effets aujourd’hui. Quelqu’un pense-t-il que les soins de santé au Canada peuvent faire l’objet d’une autre réduction? Je ne crois pas.
J’ai été choqué, comme bien des Canadiens, de constater que les soins de santé ne représentaient pas une énorme partie de ce budget. Les salles d’urgence de tout le pays sont débordées depuis deux ans. Les interventions chirurgicales essentielles ont été remises à plus tard, car les hôpitaux étaient des foyers de COVID‑19. Il faudra beaucoup de temps pour traiter l’arriéré des opérations.
Les provinces ont besoin d’aide du gouvernement fédéral pour les soins de santé, mais les libéraux n’ont pas l’air de s’en soucier. On peut sortir de ce pétrin. Il faut commencer par contrôler les dépenses pour lutter contre le problème de l’endettement. Le gouvernement ne peut pas repousser le problème.
Ce budget et ce plan d’avenir créeront plus de problèmes et rendront la vie plus difficile pour les Canadiens. C’est pourquoi je voterai contre ce budget.
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2021-06-22 16:54 [p.8996]
Madame la Présidente, c’est simple: c’est l’emprunt. Il n'y a aucune différence entre l'emprunt dans notre vie personnelle et les dépenses du gouvernement. Prenons par exemple une personne qui gagne 200 000 $ par année, mais qui dépense 300 000 $, année après année. Combien de temps faudra-t-il avant que la banque vienne frapper à sa porte?
Oui, nous devons dépenser de l’argent. Oui, nous nous intéressons aux petites et moyennes entreprises. Oui, nous devons nous assurer qu’on s’occupe d’elles, mais en attendant, nous devons veiller à équilibrer le budget au bout du compte. Nous voulons nous assurer que le gouvernement dépense ce qu’il doit dépenser et qu’il équilibre les comptes en définitive.
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2021-06-22 16:55 [p.8996]
Madame la Présidente, il y a les bonnes dépenses et les mauvaises dépenses. Au début de la pandémie, les libéraux ont annoncé qu'ils offriraient 10 % aux petites et moyennes entreprises. Nous nous sommes battus pour nous assurer qu'elles puissent consacrer l'équivalent de 70 % de leur enveloppe salariale au loyer et à d’autres choses. Il s'agissait là de bonnes dépenses et de bonnes dettes.
J’ai lu dans le journal que les libéraux sont en train d'accumuler une dette de 446 milliards de dollars et que 87 % de cet argent n'est pas consacré aux véritables priorités, à savoir les petites et moyennes entreprises, mais aux priorités libérales.
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2021-06-22 16:58 [p.8997]
Madame la Présidente, c’est la même chose. Une dette est une dette, même si c’est le Canada qui la contracte. Tous les ménages canadiens devront rembourser ces 446 milliards de dollars. Cet argent doit être remboursé. Le gouvernement imprime de l’argent sur le dos des gens. Chaque famille aura une dette de 78 000 $, car c’est à peu près la somme que le gouvernement a empruntée.
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2021-06-22 17:00 [p.8997]
Madame la Présidente, je remercie mon collègue d’en face. Ce qu’il dit est tout à fait sensé. La dette liée aux montants de 1 500 $ que nous versons aux étudiants et à bien d’autres choses représente un bon investissement.
Cependant, nous sommes davantage préoccupés par les 87 % de la dette totale. Où est allé cet argent? Il a été dépensé en fonction des priorités du gouvernement, mais nous le saurons probablement avec plus de précision lorsque nous formerons le gouvernement l’an prochain.
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2021-06-22 17:01 [p.8997]
Madame la Présidente, comme je l’ai dit dans mon allocution, il n’y a pas grand-chose pour l’avenir dans ce budget. Nous savons que la population vieillit et nous avons besoin de beaucoup plus d’argent. Comme nous l’avons constaté au cours des 18 derniers mois, les hôpitaux ont été mis à rude épreuve par la COVID. Des chirurgies ont été retardées et certaines le sont encore.
Sous la gouverne de Stephen Harper, nous avons augmenté le budget du secteur des soins de santé d’année en année, mais les libéraux n’ont rien prévu dans le budget pour les soins de santé.
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2021-06-22 17:03 [p.8997]
Madame la Présidente, je suis inquiet non seulement pour mes enfants, mais pour tous les Canadiens du pays. La dette créée par le gouvernement s’élève à 446 milliards de dollars, sans compter les 437 milliards de dollars accumulés depuis 149 ans. Toutes les générations futures devront payer la facture, ce qui me désole sincèrement. Le gouvernement devrait chercher à équilibrer le budget.
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2021-06-01 14:01 [p.7738]
Monsieur le Président, lorsque le premier ministre vantait l'idée de légaliser la marijuana, il a dit: « Nous devons assurer la sécurité des enfants et des collectivités en faisant disparaître le marché noir et en empêchant les organisations criminelles et les gangs de rue de profiter du trafic de marijuana. » Manifestement, le premier ministre inventait des histoires.
Au cours des deux dernières années, plus d'une dizaine de cultures illégales de plusieurs millions de dollars dirigées par le crime organisé ont été démantelées en Ontario seulement. Le crime organisé empoche des millions de dollars en profitant des lacunes de la loi sur le cannabis des libéraux. Les profits du commerce de la drogue servent à financer d'autres crimes. Certaines opérations légales ne sont pas beaucoup mieux. Mars Wrigley, la célèbre société de bonbons connue pour les Skittles, poursuit des sociétés canadiennes de cannabis pour avoir utilisé leur marque pour des drogues, marque conçue pour attirer les enfants.
Il faudra un gouvernement conservateur pour réparer ce gâchis.
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2021-05-13 14:01 [p.7183]
Monsieur le Président, en Inde, qui vit une deuxième vague, la COVID-19 s'est répandue comme une traînée de poudre, ce qui a submergé le système de santé et causé des pénuries de différentes fournitures médicales essentielles. Le gouvernement indien a expédié plus de 60 millions de vaccins vers plus de 75 pays. Lorsque le Canada a eu besoin de vaccins et de médicaments, l'Inde a répondu à l'appel. Maintenant que c'est au tour de l'Inde de manquer de fournitures pouvant sauver des vies, le Canada doit répondre présent.
Le manque de vaccins en Inde entraîne des décès. Des entreprises canadiennes comme ON2 Solutions fabriquent des systèmes de production d'oxygène de calibre mondial. Il faut envoyer plus de ces systèmes le plus rapidement possible en Inde. Les personnes qui le souhaitent peuvent faire un don directement auprès de la Croix-Rouge canadienne. J'invite également le gouvernement à verser une somme égale aux dons faits par les Canadiens en signe de solidarité avec l'Inde.
Enfin, à situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles. Je demande au gouvernement de joindre sa voix à celles qui demandent la levée des brevets concernant les vaccins contre la COVID-19, des vaccins qui sauvent des vies, afin d'en accroître la production. Si on ne fait rien, des gens le paieront de leur vie.
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2021-05-13 18:19 [p.7224]
Madame la Présidente, je demande un vote par appel nominal.
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2021-04-27 14:12 [p.6240]
Monsieur le Président, le plan de relance que les libéraux ont présenté la semaine dernière menace l'avenir du pays. Les résidants de Markham—Unionville craignent que ce plan ne fasse qu'aggraver la situation. Il nous faut un nouveau plan pour récupérer les millions d'emplois disparus à cause de la pandémie de COVID-19, réintroduire la transparence au Parlement, prévoir des sanctions plus sévères à l'égard de la corruption et résoudre la crise en santé mentale causée par la pandémie, ce dont le plan libéral ne tient pas du tout compte, malheureusement.
Tout plan de relance doit être tourné vers l'avenir. Il faudra donc réunir les ressources nécessaires pour lutter contre la prochaine pandémie et mettre de l'ordre dans la gestion de la dette afin que nous ayons suffisamment de ressources pour aider les Canadiens la prochaine fois qu'ils en auront besoin.
Le Parti conservateur du Canada a un plan pour faire tout cela. C'est un plan pour protéger les emplois, assurer la responsabilisation, assurer la santé mentale, protéger le pays et protéger l'économie. C'est un plan qui protégera l'avenir.
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2021-04-23 11:13 [p.6088]
Madame la Présidente, je prends la parole aujourd'hui pour souligner le 106e anniversaire du génocide arménien qui a été perpétré par l'Empire ottoman. Un million et demi d'Arméniens, hommes, femmes et enfants, ont alors perdu la vie.
Cent six ans se sont écoulés depuis ces crimes horribles de 1915. Pourtant, la Turquie continue aujourd'hui de nier les crimes odieux qu'elle a commis. Alimenté par ce refus de reconnaître une partie de son histoire, le régime actuel continue sur la même voie dans l'intention de compléter le génocide arménien, ce que la Turquie n'a pu faire en 1915.
Aujourd'hui, la Turquie continue d'utiliser son immense richesse et ses forces militaires pour menacer constamment la sécurité de l'Arménie et l'Artsakh. Nous continuons à soutenir tous les Arméniens du Canada et d'ailleurs dans le monde ainsi que leur cause. Nous disons: « Plus jamais. »
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2021-03-22 14:17 [p.5034]
Monsieur le Président, la pandémie de COVID-19 a donné lieu à une montée du racisme envers les Asiatiques en Amérique du Nord. Depuis Atlanta jusqu'à Vancouver, et même à Markham, la communauté asiatique, en particulier la communauté chinoise, est victime de racisme.
Cela a commencé par des remarques blessantes au début de la pandémie et a dégénéré en violence physique. Les statistiques sont stupéfiantes. Dans certaines grandes villes, le nombre de crimes haineux s'est accru pour atteindre jusqu'à 700 % et la plupart des personnes ciblées sont des femmes. J'encourage toute personne témoin de racisme à le dénoncer et à s'y opposer. Le silence ne fait qu'encourager les racistes.
Malheureusement, le gouvernement fédéral fait bien peu à ce chapitre. Un député libéral a admis que le gouvernement libéral a en quelque sorte omis les communautés asiatiques dans sa récente stratégie de lutte contre le racisme. Le premier ministre doit reconnaître le racisme croissant envers les Asiatiques et faire davantage pour lutter contre celui-ci.
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2021-03-10 14:10 [p.4816]
Monsieur le Président, c'est avec une profonde tristesse que j'annonce le décès de M. Joseph Shenouda, qui s'est éteint le lundi 8 mars.
M. Joseph Shenouda était un membre bien-aimé de la communauté copte orthodoxe de la région du Grand Toronto. Il laisse dans le deuil son épouse Nadia et ses enfants Ramzi, Gihan, George, Rania et Gina, ainsi que ses 10 magnifiques petits-enfants, avec lesquels il adorait passer du temps.
M. Joseph Shenouda est connu pour son travail exceptionnel auprès de la communauté copte. Il manquera beaucoup à toute la communauté.
Au nom de mes collègues du Parlement, je souhaite offrir mes plus sincères condoléances à toute la famille Shenouda. Les funérailles se déroulent en ce moment même à l'église copte orthodoxe St-Mark, à Markham. Que mon ami repose en paix.
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