Merci beaucoup, monsieur le président. Je suis enchanté d'être ici.
Je veux commencer par une question pour M. Lancastle, de l'Institut canadien des évaluateurs du Canada.
Quand il est question des changements climatiques, nous entendons parfois des gens qui pensent qu'il s'agit d'un canular s'inscrivant dans une conspiration des Nations unies, parce que certains obtiendraient présumément du financement.
Habituellement, les membres de l'industrie financière sont considérés comme des personnes très rigoureuses et peu sentimentales quand vient le temps de prendre des décisions d'affaires. Vous recommandez d'améliorer la cartographie des inondations, une recommandation qu'appuie également le Bureau d'assurance du Canada, je pense.
Diriez-vous que le secteur financier admet que les changements climatiques sont réels et manifestes, qu'outre les conséquences environnementales, ils auront des répercussions économiques réelles, et que si nous pouvons les atténuer, nous pouvons non seulement contribuer à sauver la planète, mais aussi à économiser beaucoup d'argent et à alléger la détresse économique entretemps?