Comme Mme Davis l'a mentionné, je crois que cela dépend. Dans un environnement très masculin comme celui des armes de combat, le besoin d'intégration est sans doute plus fort que, disons, dans celui de la logistique, où les qualités masculines sont moins nécessaires et moins importantes.
Mon expérience de travail avec d'autres femmes dans le secteur privé et l'armée a été très similaire. Cela dépend de la nature des gens. Cela dépend également de la façon dont les dirigeants gèrent les différents types de personnalité.
Même au sein des forces, lorsque je devais travailler dans un environnement très physiquement compétitif, j'étais souvent entourée d'autres femmes très compétitives, par exemple, au sein des équipes de la base. On voit cela simplement dans les intérêts du groupe.
J'ai aussi travaillé dans des environnements dominés par les femmes qui offraient un très grand soutien, en particulier les femmes qui m'ont précédée au sein de l'armée, disons, d'une dizaine d'années. Le rôle de mentor s'est adapté.