Très bien. Je vais me contenter de faufiler mon message dans mes paroles élogieuses à votre égard, car vous comprenez que ce n'est pas une bonne chose que le gouvernement ne donne pas suffisamment de fonds au vérificateur général pour faire son travail. C'est la raison pour laquelle je suis si content de voir… Non, je ne ferai pas cela.
Je vous remercie, monsieur le président.
Monsieur le secrétaire, ce qui m'a troublé, c’est le point 1.62, à la page 16. Le voici : « Nous avons constaté que le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada avait défini en 2017 une stratégie de service pangouvernementale: la Stratégie relative aux services axés sur la clientèle du gouvernement du Canada. » Cela semble excellent. « Cette stratégie visait en priorité les services en ligne, mais elle n’incluait pas les centres d’appels et ne mentionnait pas leur modernisation à l’échelle du gouvernement, malgré le fait que ces centres demeurent un moyen important pour les clients d’obtenir de l’information. »
Cette proportion est de 25 %, c'est-à-dire qu'un quart des Canadiens utilisent ce service. Comment en êtes-vous arrivés à planifier un point de contact pour les services aux Canadiens, sans jamais avoir pensé au téléphone? Puisque 25 % des Canadiens… Étant donné que le mantra de M. Ferguson était, encore une fois, « offrir un bon service », cessez de mesurer l'efficacité avec laquelle vous déplacez un document ou un message d'un bureau à l'autre. Mesurez plutôt les résultats pour les citoyens et la façon dont ils reçoivent — ou ne reçoivent pas — les services auxquels ils ont droit.
Comment a-t-on pu négliger un élément aussi évident — un quart de tous les Canadiens — dans cette vaste stratégie?