Je dirais qu'il y a un besoin réel à cet égard, non seulement d'offrir un contact humain, mais aussi de tenir compte du fait que, en plus de ne pas être compétents en informatique, les gens peuvent ne pas être dotés de ces technologies, comme Internet, ou ne pas avoir la capacité de se rendre à un endroit où Internet est offert, comme une bibliothèque, par exemple.
Je pense que le retrait de certains de ces services de soutien en personne cause vraiment du tort à un groupe beaucoup plus vaste qu'on pourrait le croire au départ. On se dit simplement « oh, vous ne savez pas comment utiliser un ordinateur ». Les aînés n'ont peut-être pas accès à ce type de technologie, ils n'y ont peut-être jamais eu accès et ils pourraient ne plus pouvoir continuer à l'utiliser au fur et à mesure qu'ils vieillissent et qu'ils se retrouvent avec des problèmes sensoriels et des problèmes de mobilité, par exemple.
Peut-être qu'ils sont en mesure d'aller à la bibliothèque en ce moment, mais dans deux ans, ils pourraient se fracturer la hanche et ne plus pouvoir le faire. Je dirais que, oui, il faut pouvoir offrir le strict minimum de services en personne ou pouvoir parler à une personne et pas uniquement en ligne, car, ce faisant, on pourrait vraiment influer sur une plus grande population que l'on pense, selon moi.