Merci, monsieur le président.
J’aimerais remercier M. Parent et Mme Daigle de leur exposé.
À première vue, cela m’a fait penser à mon arrivée en poste en 2011. C’était tout un tourbillon que de se rendre sur la Colline, à pied, à la Chambre des communes pour la première fois, puis de suivre ensuite toute la formation. Dès que vous êtes élu, vous voulez savoir quel est votre travail à Ottawa et vous installer le plus rapidement possible dans votre circonscription. Je ne me souviens pas de quoi que ce soit qui se soit passé sur le plan de l’orientation, parce que j’essayais simplement d’en faire le plus possible.
Il est important de nous assurer que nous évaluons les besoins des députés et que, si nous allons de l’avant avec les nouveaux services et programmes de RH, ils répondent aux besoins des députés. Quand j’ai appris qu’on proposait ce système de recrutement et qu’on offrait des services de recrutement à certains députés, je me suis demandé si cela ne traversait pas la ligne de démarcation entre l’administration de la Chambre et les fonctions et responsabilités des députés.
Je me demandais si des risques pourraient survenir dans une situation où l’Administration de la Chambre fait du recrutement, des entrevues et des vérifications des antécédents. Si l'on ratait une information, cela pourrait-il poser problème? Quel genre de recours y aurait-il pour les députés qui utilisent ce système de recrutement? Pour nous, c’est un peu différent. Nous avons une convention collective; nous sommes syndiqués.
C’est une bonne idée, mais je pense que nous devons avant tout parler aux députés et peut-être retourner voir les whips pour voir quels autres types de services seraient nécessaires.
Je suis heureuse que nous parlions de santé et de sécurité, mais je pense que nous devons également nous assurer d’avoir suffisamment d’information sur la santé mentale pour nos bureaux et nous assurer que les députés connaissent le genre de soutien offert au personnel.
C’est vraiment intéressant. Je suis d’accord, mais je suis simplement inquiète. Je pense que nous avons besoin d’un peu plus d’information. Comme on l’a mentionné, une fois que des services de recrutement ont été offerts à un député, cela a fait boule de neige, et d’autres députés l’ont appris.
Je n’avais jamais entendu parler de cela avant que nous ayons eu une séance d’information à ce sujet. Étant donné qu’il n’y aura que huit experts-conseils principaux et 10 représentants des programmes et des services dans le service des ressources humaines, je me demande si ce sera suffisant, parce qu’il semble qu’ils auront beaucoup de travail à faire.
Ce sont mes préoccupations à ce sujet.