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FEWO Rapport du Comité

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Rapport supplémentaire du Parti conservateur du Canada

Soutenir les Canadiennes âgées qui ont choisi de quitter la population active rémunérée pour investir dans leur famille et leur foyer

Introduction

Dans le cadre de son étude, le Comité a entendu plus de 50 témoins qui ont chacun présenté un point de vue qui mérite d’être examiné attentivement. Étant donné que les femmes ne deviennent pas des aînées du jour au lendemain, il est de la plus haute importance de tenir compte de l’ensemble de leur parcours de vie lorsque l’on cherche à comprendre les besoins des femmes âgées. Il faut respecter leurs choix du début à la fin de leur vie.

Les membres conservateurs du Comité soumettent ce rapport supplémentaire pour attirer l’attention sur les importantes contributions des femmes qui ont quitté le marché du travail un pendant une période de temps pour élever leurs enfants et s’occuper du ménage. Il est important de comprendre à la fois les possibilités et les défis de ce choix.

Les conservateurs demeurent déterminés à faire en sorte que les Canadiens progressent dans tous les domaines de leur vie et à tous les stades de leur cheminement. L’autonomie, la liberté et la liberté de choix doivent toujours être valorisées et protégées.

Les possibilités

Anita Pokia, membre du conseil d’administration de Pauktuutit Inuit Women of Canada, a déclaré aux membres du Comité : « Dans notre culture, tout commence à la maison. Nous faisons beaucoup d'efforts pour conserver notre langue et notre culture, pour apprendre à coudre, etc. Aussi, comme je l'ai indiqué, à l'école...  Nous devons enseigner à nos enfants; cela commence à la maison avant de s'étendre dans la communauté[1] ». Investir dans la famille, faire du bénévolat dans la collectivité, prendre soin des êtres chers et favoriser l’épanouissement social sont autant d’occasions qui poussent les femmes à choisir de travailler à la maison.

Mme Lynn Lecnik, qui a témoigné devant le Comité à titre personnel, a déclaré :

« Je n'ai pas besoin d'un emploi à l'extérieur du foyer pour participer à la vie économique, sociale et démocratique du Canada. Nous élevons des enfants pour qu'ils soient des leaders, qu'ils gèrent bien leurs finances et qu'ils préservent le monde dans lequel ils vivent, qu'ils soient des membres actifs de la société et qu'ils sachent comment ils peuvent influer sur les lois et le gouvernement au Canada. L'éducation que nous donnons à nos enfants nous fait participer pleinement à la vie économique, sociale et démocratique du Canada[2]. »

Pour de nombreuses femmes, le fait de pouvoir consacrer beaucoup de temps à élever leurs enfants sans avoir à travailler à l’extérieur de la maison leur procure un sentiment de satisfaction et de fierté. Pour elles, rien n’est plus important que de façonner le cœur, l’esprit et les actions de leurs enfants.

L’une des témoins a fait remarquer que son choix d’être mère au foyer signifie qu’elle « les [a] vus grandir et devenir les personnes qu'ils sont aujourd'hui. Nous cultivions nos propres aliments et les enfants participaient aux diverses tâches. Je crois que cela a contribué à leur inculquer un sens des responsabilités et une conscience du monde qui les entoure, en leur donnant de bonnes bases pour le reste de leur vie. Réflexion faite, je peux dire que c'était la meilleure option pour moi[3] ».

En plus d’investir dans leur famille et leur collectivité, le choix d’être mère au foyer donne souvent aux femmes un sentiment d’avoir une voix, un sens et une importance :

« [...] je crois que le choix que j'ai fait a été d'une grande utilité. Étant donné que je suis restée à la maison, j'ai été en mesure de faire beaucoup de bénévolat. J'ai fait du bénévolat dans les écoles de mes enfants, dans ma communauté religieuse et dans les refuges pour sans-abri, et j'ai fait partie des conseils d'administration de plusieurs organismes à but non lucratif. J'ai aidé à mobiliser deux églises pour appuyer des réfugiés qui arrivaient au Canada. J'ai pu donner de nombreuses heures de mon temps et mon expertise à des organismes dans lesquels je sais que j'ai apporté une aide concrète. J'encadre actuellement quatre jeunes femmes, et je sais que mes expériences fournissent un soutien particulièrement pertinent à deux d'entre elles, car elles sont des mères au foyer. Je fais toujours du bénévolat dans ma communauté religieuse et dans un centre de santé pour les personnes âgées. [...] Mais ce qui est encore plus important, c'est que mon choix m'a permis d'être une influence déterminante dans l'éducation de mes enfants[4] ».

« À mesure que mes enfants grandissaient, je constatais qu'être mère au foyer me donnait des possibilités uniques. J’avais trouvé ma place. Être à la maison avait un sens pour moi, et je savais que ce que je faisais était utile[5]. »

Le fait de pouvoir prodiguer des soins à des êtres chers de tous âges et de toutes origines a également été considéré comme une occasion offerte à celles qui ont choisi de quitter le marché du travail pour s’investir dans la vie familiale :

 « Je n'étais pas du genre à élever mes petits-enfants, mais je voulais les soutenir et les aider à se sentir aimés. Nous avons toujours été là pour nos petits-enfants, leur offrant amour et soutien dans les bons moments, comme dans les mauvais. Même aujourd'hui, nous aidons nos petits-enfants, qui élèvent leurs enfants. [...] J'étais présente non seulement dans la vie de mes enfants, mais aussi dans celle de leurs amis. Souvent, autour d'une assiette de biscuits, je voyais des adolescents parler de leur vie[6]. »

Plusieurs témoins ont parlé de la dignité d’être parent au foyer. Pour ces personnes, il s’agit d’un choix qui leur a procuré un sentiment de valeur, d’importance et de participation. Mme Noskey a déclaré qu’« être mère au foyer est un privilège et un honneur[7] », et Mme Young a déclaré que « jamais une valeur financière n'a été assignée à un emploi aussi primordial et déterminant dans ce monde[8] ».

Difficultés

Même si le fait de quitter le marché du travail pendant une période de temps pour s’occuper de leur famille est extrêmement gratifiant pour de nombreuses femmes, cela peut aussi se traduire par un certain nombre de difficultés qui surviennent plus tard dans la vie, lorsque les femmes atteignent l’âge de la retraite.

Bon nombre des témoins qui ont comparu au cours de l’étude ont parlé du manque de sécurité économique que vivent les mères qui restent à la maison lorsqu’elles arrivent à la retraite. Des réflexions réfléchies ont été proposées :

 « En raison de mon entrée tardive sur le marché du travail rémunéré, je n'ai pas eu le temps de me préparer adéquatement à la retraite en ce qui concerne le RPC ou un régime de retraite indépendant en milieu de travail. J'ai aussi des prestations de la Sécurité de la vieillesse, mais si l'on combine les 30 ans que j'ai consacrés à élever des enfants et les cotisations au RPC que j'ai versées depuis mon entrée sur le marché du travail, les prestations auxquelles j'ai droit ne couvrent même pas nos frais médicaux[9]. »

« Maintenant que ma carrière professionnelle tire à sa fin et que je m'apprête à prendre ma retraite, je me rends compte que ma pension ne suffira pas à couvrir tous mes frais de subsistance. Le choix d'être mères au foyer semble nous avoir pénalisées, moi et d'autres femmes. Pourtant, nous avons fait la chose la plus importante dans une société : prendre soin de nos enfants et contribuer ainsi à la société[10]. »

 « J'étais loin de me rendre compte que, 40 ans plus tard, la contribution que j'avais apportée à ma famille et à ma collectivité ne ferait pas le poids financièrement par rapport à celle de mon mari ou des mères qui travaillent[11]. »

Outre l’inégalité financière, de nombreuses femmes sont également confrontées à la stigmatisation sociétale lorsqu’elles choisissent de rester à la maison et d’investir dans la génération émergente. On a souligné que la société accorde très peu de valeur au choix que font certaines femmes d’être des parents qui restent à la maison. Mme Allan a bien résumé ce point lorsqu’elle a dit : « Aux yeux de la société, je suis peut-être une ratée ou j'ai fait des choix absurdes[12]. »  « Même si la société ne semble pas valoriser mon choix, je pense que c'était une très bonne décision pour moi, ma famille et la société en général[13]. »

Conclusion

Il existe de nombreuses façons d’être une femme qui réussit, et c’est à chaque personne de choisir sa voie, et c’est pourquoi le choix économique est la meilleure mesure de l’égalité. Les femmes ont-elles la même liberté que les hommes de poursuivre la carrière de leurs rêves? Les femmes ont-elles la même liberté que les hommes de donner la priorité aux soins d’un enfant ou d’un être cher, si c’est ce qu’elles choisissent? Le cadre culturel du Canada donne-t-il aux femmes la liberté de choisir le travail à temps partiel plutôt que le travail à temps plein sans se sentir moins valorisées?

Les femmes devraient avoir la liberté de choisir la voie qui leur convient le mieux. Comme Mme Moody l’a dit au Comité : « Nous ne sommes pas toutes faites de la même étoffe et, en tant que femmes, nous ne cessons de remettre nos choix en question. Nous avons besoin de sentir que nous faisons quelque chose de valable, et si c'est de rester à la maison avec notre famille et de contribuer à notre communauté, alors nous devrions être satisfaites[14]. »

L’autonomie doit être accordée. La liberté doit être protégée. Le choix doit être respecté.

Recommandations

Bien que les membres conservateurs du Comité permanent de la condition féminine soient d’accord avec les recommandations formulées dans le rapport principal, nous estimons qu’il faut accorder une attention particulière aux besoins des femmes âgées qui ont choisi de quitter la population active rémunérée pendant une période de temps.

Selon les témoignages entendus, les membres conservateurs font les recommandations suivantes :

Allégements fiscaux :

1. Que le gouvernement du Canada explore la possibilité d’accorder des allégements fiscaux aux Canadiens qui ont choisi d’être des parents au foyer[15] [16].  

Fractionnement de l’impôt sur le revenu :

2. Que le gouvernement du Canada mette en œuvre des mesures fiscales pour permettre aux conjoints ayant des enfants de moins de 18 ans de fractionner leur revenu aux fins de l’impôt[17] [18].

Prestation universelle pour enfants

3. Que le gouvernement du Canada examine et évalue les améliorations à apporter à la prestation pour enfants du Canada pour les Canadiens qui choisissent d’être des parents au foyer[19].

Financement des pensions :

4. Que le gouvernement du Canada envisage de fournir un financement adéquat des pensions aux personnes qui ont choisi d’être des parents au foyer. [20] [21].

Femmes âgées vulnérables:

5. Que le gouvernement du Canada examine les prestations d’invalidité et les mesures fiscales pour veiller à ce que les personnes handicapées ne soient pas pénalisées financièrement pour avoir augmenté le nombre d’heures qu’elles consacrent à un emploi rémunéré.

Loi visant à appuyer les nouveaux parents :

6. Que le gouvernement du Canada veille à ce qu’il y ait un crédit d’impôt fédéral non remboursable pour tout impôt fédéral sur le revenu payé dans le cadre des programmes de congé parental de l’assurance-emploi.

Langues :

7. Que le gouvernement veille à ce que les nouvelles arrivantes âgées aient un accès adéquat aux cours de langue pour les nouveaux arrivants au Canada dans le but précis de réduire l’isolement social des nouvelles arrivantes au Canada[22].

Nouveaux Horizons :

8.  Que le gouvernement maintienne le programme Nouveaux Horizons pour les aînés et qu’il examine des façons de modifier le programme afin de maintenir le financement de projets de plus grande envergure à plus long terme[23].


[1] FEWO, Témoignages, 9 avril 2019, 1005, Mme Anita Pokia (membre du conseil, Pauktuutit Inuit Women of Canada).

[2] FEWO, Témoignages, 4 avril 2019, 0955, Mme Lynn Lecnik (à titre personnel).

[3] FEWO, Témoignages, 4 avril 2019, 1000, Mme Mary Moody (à titre personnel).

[4] FEWO, Témoignages, 2 mai 2019, 1005, Mme Shirley Allan (à titre personnel).

[5] FEWO, Témoignages, 2 mai 2019, 1010, Mme Arline Wickersham (à titre personnel).

[6] Ibid.

[7] FEWO, Témoignages, 30 avril 2019, 0955, Mme Juliette Noskey (à titre personnel).

[8] FEWO, Témoignages, 30 avril 2019, 0950, Mme Colleen Young (à titre personnel).

[9] FEWO, Témoignages, 4 avril 2019, 1000, Mme Lana Schriver (à titre personnel).

[10] FEWO, Témoignages, 30 avril 2019, 0955, Mme Juliette Noskey (à titre personnel).

[11] FEWO, Témoignages, 4 avril 2019, 1000, Mme Lana Schriver (à titre personnel).

[12] FEWO, Témoignages, 2 mai 2019, 1005, Mme Shirley Allan (à titre personnel).

[13] FEWO, Témoignages, 2 mai 2019, 1000, Mme Shirley Allan (à titre personnel).

[14] FEWO, Témoignages, 4 avril 2019, 1000, Mme Mary Moody (à titre personnel).

[15] « Qu'est-ce que le gouvernement peut offrir aux gens qui restent à la maison? La meilleure chose à faire, c'est probablement d'accorder plus d'allégements fiscaux aux jeunes qui ont du mal à joindre les deux bouts, afin qu'ils aient suffisamment d'argent. » FEWO, Témoignages, 4 avril 2019, 1005, Mme Lynn Lecnik (à titre personnel).

[16] « Je pense qu'il est important qu'un parent ait le choix de rester à la maison avec ses enfants et qu'il soit appuyé dans ce choix. Le gouvernement pourrait appuyer les familles en permettant le fractionnement du revenu aux fins de l’impôt, en accordant des avantages fiscaux aux parents qui restent à la maison, en offrant du soutien financier aux femmes âgées n'ont jamais occupé un emploi rémunéré et en modifiant les lois sur la pension qui s'appliquent au conjoint survivant qui n'a pas de pension de retraite du secteur privé. » FEWO, Témoignages, 2 mai 2019, 1005, Mme Shirley Allan (à titre personnel).

[17] « Il est important de respecter ce choix que font certaines femmes. Le fractionnement du revenu familial est important. Il est important de permettre aux femmes de conserver une plus grande part de leur argent en réduisant leurs impôts, et il est important d'offrir un soutien financier aux personnes âgées qui n'ont pas cotisé au RPC. » FEWO, Témoignages, 2 mai 2019, 1010, Mme Arline Wickersham (à titre personnel).

[18] « Je pense qu'il est important qu'un parent ait le choix de rester à la maison avec ses enfants et qu'il soit appuyé dans ce choix. Le gouvernement pourrait appuyer les familles en permettant le fractionnement du revenu aux fins de l’impôt, en accordant des avantages fiscaux aux parents qui restent à la maison, en offrant du soutien financier aux femmes âgées n'ont jamais occupé un emploi rémunéré et en modifiant les lois sur la pension qui s'appliquent au conjoint survivant qui n'a pas de pension de retraite du secteur privé. » FEWO, Témoignages, 2 mai 2019, 1005, Mme Shirley Allan (à titre personnel).

[19] « Que diriez-vous d'un programme pour les mères qui choisissent de rester à la maison, au moins avant que les enfants fréquentent l'école... le coût des services de garde, multiplié par le nombre d'enfants, multiplié par cinq ans? Peut-être pourrions-nous avoir un fonds d'investissement ou des placements dont les revenus seraient versés aux mères, sans excès, jusqu'à 60 ou 65 ans. C'est peut-être une suggestion. Au Nouveau-Brunswick, au moins, les services de garde d'un enfant coûtent environ 800 $ par mois, probablement 1 500 $ si vous en avez deux. Que se passerait-il si l'on multipliait ces 1 500 $ par 12 mois, ce qui donne 18 000 $, et par 5 ans, soit 90 000 $ payables avec intérêts? Si cette somme était conservée jusqu'à ce que la mère prenne sa retraite, si elle choisit de se retirer, c'est-à-dire que 90 000 $ sur 40 ans pourrait être un bon investissement. » FEWO, Témoignages, 4 avril 2019, 1015, Mme Lana Schriver (à titre personnel).

[20] « J'aimerais recommander fortement que le gouvernement envisage de financer adéquatement un régime de pensions pour les personnes comme moi qui choisissent de demeurer à la maison pendant de nombreuses années, afin d'élever des adultes responsables qui bénéficieront à la société dans laquelle nous vivons. Si les mamans au foyer pouvaient avoir accès à un régime de retraite auquel elles pourraient apporter une faible contribution, une contribution que le gouvernement doublerait, ce serait l'idéal. » FEWO, Témoignages, 30 avril 2019, 1000, Mme Juliette Noskey (à titre personnel).

[21] « Comme cela a été mentionné plus tôt et comme Mme Mathyssen l'a soulevé au cours d'une conversation antérieure — j'étais présente, et j'écoutais les délibérations —, il est vraiment impératif, à mon avis, qu'il existe un moyen pour les mamans au foyer de contribuer davantage à un régime de retraite, d'une façon ou d'une autre, ou à une prestation d'un genre ou d'un autre, de sorte que, si quelque chose se produit au cours de leur vie et qu'elles deviennent l'unique pourvoyeuse de leurs enfants et de leur famille, elles seront en mesure de cotiser à un régime de retraite qui assurera leur subsistance plus tard. Ainsi, 61 % des femmes, dans une seule province du Canada, ne vivraient pas en deçà de 20 % du seuil de pauvreté. » FEWO, Témoignages, 30 avril 2019, 1000, Mme Colleen Young (à titre personnel).

[22] « Non, nous n'avons pas vraiment établi de pont avec les personnes qui parlent une autre langue. C'est l'une des choses auxquelles nous souhaitons nous attaquer grâce à cette subvention. Nous voulons trouver une façon de créer le pont avec les nouveaux Canadiens, par exemple, et ceux qui parlent une autre langue, pour pouvoir leur offrir des programmes un peu mieux adaptés à leurs cultures. » FEWO, Témoignages, 26 février 2019, 0930, M. Robert Roehle (président, Pembina Active Living (55+)).

[23] « Le programme Nouveaux horizons pour les aînés est un programme de subventions et de contributions dont le véritable objectif est d'améliorer la qualité de vie des aînés ainsi que leur engagement et leur participation dans la collectivité, l'accent étant vraiment mis sur la diminution de l'isolement social. Le programme comporte deux volets. Il y a le volet des subventions axées sur les collectivités, qui représente la plus grande partie du financement offert par le programme, soit environ 35 millions de dollars par année. Il s'agit de petites subventions axées sur les collectivités d'un montant maximum de 25 000 $. Les organismes communautaires peuvent s'en servir pour lancer des projets favorisant l'engagement des aînés dans leur collectivité. » FEWO, Témoignages, 21 février 2019, 0925, Mme Catherine Scott (directrice générale, Direction des partenariats pour le développement communautaire et de lutte contre l’itinérance, Direction générale de la sécurité du revenu et du développement social, ministère de l'Emploi et du Développement social).